Vue du côté de la fenêtre ton ciel vaste.
M'offre à nager, me donne a voyager.
Welcome babe, prends ton pied. Prends-moi.
Je ferme les yeux, et je serre le pas. Sur toi.
Je suis nue. Contre mes pages. Entre-lignes. Et je m'amuse à me donner le trouni, à m'étourdir, histoire de mettre au défi les ordres de mon pyjama de soie rouge vêtu. Je veux pas me perdre dans ma chûte de reins trop gourmande. Je veux pas solder au premier cap'taine venu, ma bouche divine en entrée. Mais jongler acrobatique avec le manque ? Risquer de perdre ce rose à mes joues, lorsque vaginnalement repue, je ferme à demi les lèvres et j'offre au bonheur un tour de manège ?
Et mes mercures ?
Mes slaves de canons ? Ses obus ? Sa mer en offrande ?
Je vais y penser un autre jour. Aujourd'hui, j'ai du travail, du pain sur la planche et j'ai froid. Mal dormie hier. Trop chercher l'odeur des pamoisons, trop baladée ma main vers aqua-city. Trop.
Oh! Oui! Encore si trop. Moi.
1 commentaire:
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