3/31/2007

titre d'un samedi en fugue.

Pas de peaux sous l'édredon. Avec ma propre main crève-la-faim, se cible l'origine de tout, le vase crinoline, la terre mère, l'overdose apétit.

Je suce le temps qui passe, en gâterie sur mes dents, et ce sucre descends, pauvre parent du boudoir rouge et blanc. Je goûte ma.

Maintenant que ce chatoiement de l'eau se réserve ailleurs aussi. Mes yeux se sont embués des larmes de celle qui se deuil d'un.

À force d'autopsies cervicales, de strip tease de l'inconscient. Je sais. Égoïste bête, je suis. Quand je nombril mes phéromones autour, guettant l'ombre. Espèrant entrevue oreiller, quand le soir s'allonge près de moi. Caressant mon ombre soif, mes cheveux oréole d'être enroulés autour.

Congugales fringales, pizza congelée et risque d'averse.

J'ai esperé tant et tant que l'encre s'est gonflé par toute les mers.
Tellement d'inspiration, de mots, de textes en sont sortis vainceurs.

Que je ne peux que pleurer, me moucher, jetter les kleenex, me maquiller et sortir dehors, m'acheter des fringues, poupée qui dit oui. Promesse d'un ciel bleu et d'un 7 degré.

3/30/2007

Pour toi que je serais toujours là

Grammaticalement en looping

le verbe hystérie
se plasticine
inflorescences

insigne digne

et le start saradrap
"jammé" entre les pieds

sous

comme le vide

collé sur mes cuisses

comme le vide

englouti par la vie
space opera sur lèvres

toujours

gravé en l'urgence
des suites nuptiales
en chûte libre

comme un croquis
victoire espoir

3/29/2007

Décompensée.

Accrochée à la pompe.

le bleu
le rouge

remis dans 10 jours
les capsules, les endorphines
se taisent et
inamissible Je
me torts encore

quelqun m'a mis des roches dans mon centre

je me dispense de boire.
L'heure bohémienne
visage en
subsance peut-être jour

sémantique

Prednisone 50 mg
Flovent 500 mg

Fuck the pain away
Fuck the pain away
Fuck the pain away
Fuck the pain away
Fuck the pain away
Fuck the pain away
...

3/27/2007

Bibliothèque-Communautaire: nouvelle et suite

Plus de 200 livres maintenant. Avec en prime, un deuxième meuble, dans le coin de mon bureau.
Environ une quinzaine de jeunes adultes inscrits.
La nouvelle se propage et j'ai des téléphones de gens non-inscrits à mes activités "habituelles" au centre.

Nous sommes en fin d'année financière, nous avons eu des "surplus", des argents non-dépensés, habituellement nous devons remettre cet argent à notre subventionnaire : c'ets à dire:
le Carrefour Jeunesse Emploi de Rosemont Petite-Patrie.
J'ai eu le Ok de ma patronne, et nous sommes partie (oh! Joie!),
à la librairie acheter de beaux livres tout neufs. WOUHOU!!

Alors voîla la liste de nos achats...

1. "Tombe Londres Tombe" de Jean-François Poupart. (Poêtes de Brousse)
Parce que je suis tombée sur : "Tu es né en pleine nuit en pleine mer" - Yep! D'la poésie!

2. "La maison sans miroir" de Véromique Cyr
... aussi ches les Poêtes de Brousse ...
parce que "Ça commence par la couleur du chêne..."

3. "Nikolski" de Nicolas Dicker chez Alto, parce que..
y avait des poissons sur la couverture
Sans blague, j'pense que je vais lire celui-ci en premier, (Binkin que j'vais pas me gèner)

4. "Llouis qui tombe tout seul" de Matthieu Simard de chez Stanké.
Parce que...euh...parce que c'est Matthieu Simard !?!

5. "Soudain le minotaure" de Marie Hélème Poitras de chez Triptyque, parce que, Nathalie m'a parlé du sujet du roman, de ce qu'il traite, et j'ai eu, comme muée par un besoin de faire face, un tremblement, un peu, de ma main, comme soumise par une volonté plus forte, j'l'ai mis dans le panier, et je vais lire, bientôt. C'est certain.

6. "Clame aurore (s'unir ailleurs, du napalm plein l'oeil)"
de Danny Plourde chez l'hexagone parce que...
"sans te connaitre encore t'ai cherchée en fouillant dans les serveuse de fin de shift qui m'ont fait avaler des guirlande de couleuvres ..."

7. "Sonde ton coeur, Laurie Rivers" de Stéphane Bourguignon de chez Québec Amérique.
Pourquoi ? -Sincerement je crois que les jeux de mos de La Dompe m'ont influencés, et aussi
c'est un des coups de coeur de chez Renaud-Bray.

8. "Chant pour enfants morts" de Patrick Brisebois de chez l'effet pourpre.
parce que j'aime Patrick! (sinon parce que je crois que ce genre de littérature va "pogner" avec les jeunes adultes
d'ici et que de lire "il y a quinze million de piscines emplis de sang..." ...

Ici deux livres "coups de coeur parce que des fois je n'écoute que ma pupille"

9. Julie Gaudet-Beauregard "Coup de foudre, clichés et autres atrocités" Illustré par Catherine Lepage
Chez les 400 coups

et

10. Paul Doyon "la petite fille à la robe mauve" des éditions d'art le sabord.
"La petite fille à la robe mauve aimer regarder les trains brasser leurs ferrailles. Entendre les gémissements de fer de leur accouplements. Entendre les interminables rames de wagons hésiter entre avancer ou reculer, jamais certains on dirait de la décision à prendre." -J'ai eue le coup de foudre!!-

Et pour terminer... Des classiques.

Rimbaud (Album Zutique), Kafka (la métamorphose), Edgar Allan Poe (les lunettes et le scarabé d'or).

Et pour faire plaisir à Édrick : Les Thanatotes de Bernard Werber.

(ça à coûter autour de 200$)

...

Voila pour nos achats. Vive les fonds de tirroirs!! Par contre, nous cherchons encore des livres, alors en échange de quelques bouquins issus de votre charmante bibliothèque, je suis prête à aller dîner avec vous !!

Vous désirez des infos ? Un rdv ? Un sauté de légumes ?

projets_1830@hotmail.com

(ou laissez tout simplement un com ici !!)

3/23/2007

Tu danses comme le ventre au milieu du monde.
Ébruitement des cercles-filants sur

l'eau de pluie

salée

demain se fantôme surement puis que

blanche

est la cîme des peut-être.

Et je suis
à travers
comme
l'envers

des chemises

amoureuse pulpe.

3/21/2007

Dans mes oreilles...



Et dans les tiennes ???

3/20/2007

Pas d'image. En attendant le 8. Aujourd'hui de mots.

Aciculaires. Les remords achalandés
Dans l'espace de mes deux pieds...
Et comme tourne les anguilles.
Sur le mur, en haut de la porte. Clouées.

Hier fut

(désir intact impact)

Dans ma chambre, tu déshabilles mes doutes et baisses ma culotte.
Je veux fermer la lumière. Tu regardes mon ventre iris. je veux fuir.
(desirata)
(Je veux.) Tu. Laisses allumée.
(inflammable)
Sur l'endos de la vallée, pyrrhiques coups de hanches in vivo.
(Kill me more)
Ta lave sur mon cul. Sédiments que je lèche. Dévotion sanitaire.
(Breath)
L'on repose enfin sous tes yeux jades. Ta peau ivre. Infusion.
(making of)

Cette nuit je dormirai mieux. Entre les soupirs et encore ton odeur là contre mes angoisses. Avec tes infroissables promesses, tes "je t'aime" livrés en douceur sur le lobe de mon oreille, sous l'ombrelle de nos regards permettre à l'oubli de se commettre un peu. Pour enfin clore les yeux et prendre le temps de goûter la peau.

3/19/2007

Elle avait dit.

Elle avait dit, appelle à 6h30 le matin. Si la boîte vocale est pleine, rappelle à 8h30. Il est 8H26. Le coeur me débat. L'environnement near me joue le trip de LSD. J'ai des sueurs et tout à coup je ne suis plus certaine de rien. Même ce livre qui se construit dans mon nouveau laptop me semble désuet, la jupe grise et les collants noirs, mon nouveau chandail vert jade aussi sont (semble) déconnectés. Et prendre le temps de me maquiller, de "sprayé" mon corps d'un nouveau marfum acheté en solde ce weekend, est superficiel ce matin.

Fuite dans l'univers poupée superficielle pour ne pas trop vivre ce moment conscéquence (ou vérité ?)...

8h32. Je refais les numéros, la boîte vocale est (accessible?) (possible ?) (libre ?)...je laisse le message, je répête le plus clairement possible mon numéro de cellulaire ET le code régional, au cas 2 fois (pour ne pas dire, faillie le répêter 3 fois).

Les dés sont jettés.
J'ai l'estomac noué.

M' en va jetter mon reste de céréals dans les toilettes.

Escuse-moi si aujourd'hui, ni demain, cette semaine ou pendant quelques temps, je n'aurais ni le coeur à danser, ni à faire de la poetry. Je serai intime avec le laptop, garderai mes mots pour moi, pour plus tard, en cascade sur le temps qui passe.

Le vent souffle et mes cheveux se drapent pour s'enfuir. Très sagement, assise sur le banc, j'attendrai mon tour. Sagement prendre la bonne décision, sagement sans dire mot, ouvrir, puis un peu s'endormir. Laisser aller. Car comprendre. Savoir, ce qui en fait est le plus sage.

S'accrocher au ciel bleu. Aux moments heureux. Encore, se dire, que l'on sais, l'amour est là.

Tu es là.

Tantôt. Un autre demain sera un autre mieux.

3/16/2007

Soleil, Soleil...




Juste.
Besoin.
Express.
De.
Vacances.

3/15/2007

Assise au centre de l'arène

Essoufflement généralisé. Les sacs vides, les papiers, les emballages de MacDo, les crottes de chiens qui datent de janvier, ces saletés annonciatrices du printemps qui jonchent les bordures du chemin, et que dire des odeurs, celles qui me lèvent le coeur, me plongent, kilotonniques, dans cette réalité Montréalaise décevante et à chaque dégel, entre l'hiver des cuisses gelées et l'été de celles dénudées...

Ça pue, pis c'est sale en criss Montréal.

**

Je veux mon jardin, ma robe en jutte, mon chapeau de paille, et des kilos d'enfants qui courent nus.
Je veux être encore, avec toi, au Lac-des-Écorces, et sentir l'épinette, et écouter le vent sur le lac gelé.
Et voir les étoiles... "On ne peux pas rêver dans un endroit où on ne voit même pas les étoiles".
-M et K cet hiver-

**

À part ça. Marcher, Travailler, Faire à manger, Écrire, Faire de tout petits ronds puis Dormir.

3/12/2007

Oestrus-corpus-messagus-impossibilus



De phrases alambiquées à des moues bague au doigts.
Le lobbying que je fais à court de verbes, sur les draps

segments d'un. Oubli.

impossible maintenant
d'être
autre chose que

explose dans ta main
marguerite-moi
sur la paume

oestrogène.

***

La boîte vocale de ....... est pleine, veuillez rappeller plus tard.

3/09/2007

Inspirer. Expier.




Les minutes à travers la gorge comme ces éclats de fenêtre qu'on ravale pour cause de passer outre, l'éponge bien serrée dans la main. Se tenir bien les jambes décoratives. Comme ainsi la veille, l'ombre avait préférée se taire, enfouie dans les velours chauds.

La ligne jaune de l'autoroute bien en vue sur le pupître.

Et se fermer les
yeux.
l'instant
des
hanches
couperets.


Demain.
Demain.
Demain.

3/08/2007

Journée de la femme. Et moi. Et vous. + 12:55 : Montée de lait en edit.



(pour commencer la première toune que j'ai chantée. Là où je me suis rendue compte que j'ai une voix. Où je peux chanter.)

***

la journée de la femme nous concerne ...

Parce que...


- 7 % des femmes en Ontario vivant avec un conjoint de fait ou de droit ont été victimes d’agression physique/sexuelle commise par leur conjoint au moins une fois durant la période allant de 1999 à 2004.1
- 51 % des femmes au Canada ont été victimes d’au moins un acte de violence physique/sexuelle depuis l’âge de 16 ans.2
- Il y a eu environ 25 femmes qui ont été victimes d’homicide conjugal chaque année en Ontario entre 1975 et 2004.3
- Près de 40 % des femmes agressées par leur conjoint ont déclaré que leurs enfants avaient été témoins de la violence à leur endroit et, dans bien des cas, que la violence était grave.4
- Les femmes autochtones sont trois fois plus susceptibles d’être victimes de violence conjugale que les femmes non autochtones.5
- 11 % des femmes en Ontario ont été victimes de harcèlement criminel durant la période allant de 1999 à 2004.6
- 74 % des femmes qui vivaient dans des maisons d’hébergement en Ontario le 14 avril 2004 avaient été victimes de violence.7
- 53 % des femmes fuyant des situations violentes ont été admises dans des maisons d’hébergement avec leurs enfants, et 65 % de ces enfants étaient âgés de moins de 10 ans.8
Moins de 10 % des agressions sexuelles sont signalées à la police

Source

Et. Encore ça. c'est tellement pas juste ça...

L,excision- la traite des blanches, la prostitution juvénile , la lapidation...

Et j'en passe. Sérieux. Je veux pas de fleurs moi aujourd'hui. Je ne veux pas de chanson ou de gateau. Je veux que des gens s'ouvre les yeux. Et prenne conscience, non pas brûler son soutien-gorge, mais, se rende compte que, la situation des femmes, n'est pas ce que l'on croit, lorsqu'on est assis dans le confort de notre chouette maison à combustion lente. (le poêle biensûr).

Ça fais pas si longtemps que la femme à le droit, de jouir, de voter...

(au fait c'est en quelle année le droit de vote des femmes, vous le savez ??)....

Pour les curieux, ici : l'historique de la journée de la femme .

Faites quoi vous pour souligner la journée de la femme ??





EDIT. 12:50.

Après avoir lu un billet,et les coms, après en avoir mis un moi-même. Toute faché. Et ce fut assez, assez pour m'enlever le goût d,aller lire, ce que d'autre femmes pensent de la journée de la femme. Aussi entre-autre du Féminisme et autre bidule du genre. Je trouve ça facile de regetter ce qu'et le féminisme en surlignant fluo le fait que es femmes auraient dans un mouvement de révolte, bruler leur soutien-gorge et plus.

Mais faut pas non plus oublier que c'est grace à CES femmes. Ces féministes qu'aujourd'hui on a droit au vote, à l'avortement, aux contraceptifs, etc. C'est grace à des femmes qui se sont battues au front que maintenant, nous, on (doit) devrais ? souhaiterais? prendre le relait, et se battre...

Pas juste pour nous. ALLO!! Se battre pour celles qui ne peuvent pas. Se battre aussi pour les droits des femmes. Et aussi des enfants, de l'HUMANITÉ! OSTI!

Oui, je suis fachée. Navrée. De lire des jeunes femmes qui se disent ouvertes d'esprits, généreuse, cultivées... Mais qui sont tellement rivées à leurs nombrils, qu'elles ne voit pas, l'importance d'un jour comme celui-là, où dans beaucoup de centre communautaires, sur des places publics, l'informations et la sensibilisations à une RÉALITÉ des femmes, qui dépase notre simple confort de nos neurones. Ici, oui, pour beaucoup il fait bon. Ça sent la bouffe qui cuit. On entends Radio-Rock-Ma-Tante. Le ronron de minou. On commande sur E-Bay des trucs pour passer du bon temps avec soi. Parce que l'on travaille sur notre relation avec soi.

SOI.

Navrée.

Parce que je sais c'est quoi. C'est quoi subir la violence. Me taire. Ravaler et passer au suivant. Pour ne pas crever.

Et j'ai été bien heureuse de croiser sur ma route. Des femmes. (des gens). Pour apporter. Pour aider.
Aujourd'hui, c'est certain, je ne me voit pas comme les féministes d'hier. Je dirais plus comme une humaniste.
Là où y a de la souffrance, y a place aux changements. À l'éveil des esprit, pour voir, comprendre et évoluer.

Y a encore trop d'abus faite aux femmes.
Et aujourd'hui, permet d'en parler. ET DE CONSCIENTISER.

(je vais me dé-fâcher d'ici 14h j'imagine.)

3/07/2007

Varia de pot pourris, pigloo, c'est semaine de relache.

Mon Horoscope :

Soleil en Poissons, Lune (Balance) en direction du Scorpion.
...... Vous êtes rempli d'énergie, et votre teint reflète la bonne forme. En effet, avec le Soleil dans votre signe pour votre époque anniversaire, vous êtes une vraie dynamo. (Une dynamo ? pfffft Qu'est-ce que je fous encore en pyjama alors ?!?) Feu! Au travail? Tout est extra mais, fuyez les colporteurs. (Je suis pas au travail)...Le ciel apporte la chance. Et l'amour? Plus on vous désire, plus vous devenez désirable. (eh! va falloir que je sorte de ce pyjama!!).

***

Ma gardienne a pogné la gastro lundi matin, à 7h30 Am. Je suis donc confinée à la maison. Ce qui me fous en boule, parce que j'ai une tonne de truc en retard au boulot. Suis donc en congé forcé!!

**

Pigloo (Émile et moi on s'est fait un fun fou à matin à danser sur ça!!)



**

Je me suis fait couper les cheveux, d'un coup de tête, suis entrée au salon de coiffure, et j'ai lancée, dégrade-moi ça!!
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Bon, j'avoue que c'est pas tout à fait moi, une couple de mois encore au gym, et je pourrais peut-être m'en approcher. (Note à moi-même arêter de bouffer des jujubes.)

**

Et vous, la semaine de relâche se passes comment ?

3/06/2007

sur la pointe des pieds...

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Le mouvement en continu. Écrire, puis lire. Les enfants, et puis l'amour. Travailler, et puis se reposer. Vivre, et puis mourir toujours un peu plus. Vers soi, s'attirer, se charmer, se prendre aux joies du KO au tapis. Contre les fleurs, oui, celle même dans lesquelles on s'enfargeait. Poser le pieds dessus maintenant.

L'espace se scie en deux sous tes paroles de ciel bleu.
Aspirant mes détours au creux de tes vallées. Sans ça.
Je perdrai le nord de mes décisions sans retour en arrière.

Possible.

Pour l'instant.

Les doigts posés bien à plat sur le bois du bureau. Je regarde les sillons que la vie à tracée dans la paume de ma main. Les âges passées sur le dessus. Et le verbeux passion de mes doigts. Contre le clavier, pestant et crevant les eaux de l'urgence d'être. Celle. Là. Enfin qui bat des hanches sous les couvertures.

3/05/2007

parce que