4/24/2007

Juste fermer et repartir



J'ai ouvert ici, pour me rapprocher un peu plus de moi, de lui, de toi aussi. Juste comme sonnait les cloches des églises, le vert des pommes qu'ont souhaitent, une par jour, éloigne le docteur pour toujours. Bref, en sillon, plus juste sous mes yeux, j'ai partager ici, des mots, des émotions, de la musique et ma peau, toujours aussi rouge sur les dents, toujours aussi poupre d'envie quand se trouve sur le chemin l'opale tant désirée.

J'ai fini mon manuscrit. (Je sais je dois envoyer avant le 30 sinon je suis UNE GROSSE MONGOLE.)

J'ai commencer autre chose sous une autre forme.

J'ai sortie ma petite jupe jaune du placard, mes souliers chinois, et je porte mainteant "Luxe" de Jennifer Lopez. Ce printemps ne ressemble pas à l'autre. Mais on y sens le même désir de construire. Alors je me laisse porter. En fait non, je PORTE. Je porte à bout de bras, always, le boulot où j'aide des gens, qui aide des gens (haaaa je plogue CENTRAIDE!!), la maison que je soigne : repoussant armée de Febreez, les odeurs de bas sales (ça puz donc bien des bas sales de tits garsqui a jouer dehors arrrkkkk) ...Aussi y a la poussière, les coeurs de pommes, les paniers de grains de café usés... que je mets dans des sacs Glad, des enfants à éduquer pour un monde meilleur (i hope), "un amour qui ne veux pas mourir et c'est ma raison d'aimer la vie" (bon J'ai ça dans la tête maintenant... Et ça...ÇA... Ça prit entre deux chaises...comme dirait Plume... "Cupidon est assis entre deux chaises"... Mais là PAS question d'intervenir... Je dois avant, vivre ce qui me chante de vivre. Y a pas d'urgence. Sinon, je ferai le 911.


Vous me trouverai maintenant à :

http://nonam.wordpress.com/

en poésie, et p-ê autre forme... Si ça me dis...

je laisse tout intacte. comme c'est bon des fois de revenir en arrière et se redécouvrir... encore... comme vierge du passé.

Merci à tout le monde. Merci pour les mots. les lectures. le temps passé a scuter mes déliriums...

À tantôt...

(oh! et j'ai tout près de 300 livres dans ma bibliothèque-communautaire, merci à tout ces bloggueurs qui y ont contribués)

4/11/2007

L'autre coté...




ai posé le pieds de l'autre côté du miroir
l'instant de me perdre, de me fuir, d'être
un reflet de plus dans des pupilles
anonyme

là ou tous sont queen
j'm'allonge un peu encore
malgré

les durs trottoirs et les coeurs abandons.

je prends Frenzfreluchz sous mon bras
Love-soeur par la main

et je guette l'horizon
les yeux toujours plein

Catch me if you can.

4/10/2007

Dans mon Lecteur Mp3 à matin



Tous ensemble...

Hou-hi-Ha-Ha... OuuuuuuHhhhhhh I feeeeeel So Goooooooddddddddddddd....

(Ça sens le printemps entre mes jambes ce matin.)

4/05/2007

You know. Mes paupières livrées de rouge cousues, juste pour toi, en dépannage alimentaire. Basic velour. J'écoute Rammstein. Je bois mon jus de pomme. 100% pur. Des caplets anti-douleurs. Mis ma belle jupe grise, des collants et un tee-shirt noir. Juste pour la parade. L'air de rien, en air to kill, the time, the shame, the poison. Ivy.

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Mon encre de bête, en clapotis brume, cercle mes yeux : ta bouche, sèche mes pleurs : ta peur.


Asteur on peut bien dormir. Les demains se sont nus, et moi j'lis Véronique Cyr.

4/02/2007




je veux danser comme avant, mettre au pas mon ventre qui s'appesenti de pain dorés et de Game-Boy. Les pitons, tourne à droite, tue-tue-tue-tue. Carcasses, trésors, gling-gling, carte-au-sucre. J'oublie. L'appesenteur, la pesenteur. La remise, au hangar, en question. Le rond qui à cloche-pied se rase l'herbe sous mes pieds.

Et, je révise mon agenda. Le 10 puis le 11, puis le gym, puis les fantasques arrières-pensées back.

J'ai hate.


D'encore danser pour toi.

3/31/2007

titre d'un samedi en fugue.

Pas de peaux sous l'édredon. Avec ma propre main crève-la-faim, se cible l'origine de tout, le vase crinoline, la terre mère, l'overdose apétit.

Je suce le temps qui passe, en gâterie sur mes dents, et ce sucre descends, pauvre parent du boudoir rouge et blanc. Je goûte ma.

Maintenant que ce chatoiement de l'eau se réserve ailleurs aussi. Mes yeux se sont embués des larmes de celle qui se deuil d'un.

À force d'autopsies cervicales, de strip tease de l'inconscient. Je sais. Égoïste bête, je suis. Quand je nombril mes phéromones autour, guettant l'ombre. Espèrant entrevue oreiller, quand le soir s'allonge près de moi. Caressant mon ombre soif, mes cheveux oréole d'être enroulés autour.

Congugales fringales, pizza congelée et risque d'averse.

J'ai esperé tant et tant que l'encre s'est gonflé par toute les mers.
Tellement d'inspiration, de mots, de textes en sont sortis vainceurs.

Que je ne peux que pleurer, me moucher, jetter les kleenex, me maquiller et sortir dehors, m'acheter des fringues, poupée qui dit oui. Promesse d'un ciel bleu et d'un 7 degré.

3/30/2007

Pour toi que je serais toujours là

Grammaticalement en looping

le verbe hystérie
se plasticine
inflorescences

insigne digne

et le start saradrap
"jammé" entre les pieds

sous

comme le vide

collé sur mes cuisses

comme le vide

englouti par la vie
space opera sur lèvres

toujours

gravé en l'urgence
des suites nuptiales
en chûte libre

comme un croquis
victoire espoir

3/29/2007

Décompensée.

Accrochée à la pompe.

le bleu
le rouge

remis dans 10 jours
les capsules, les endorphines
se taisent et
inamissible Je
me torts encore

quelqun m'a mis des roches dans mon centre

je me dispense de boire.
L'heure bohémienne
visage en
subsance peut-être jour

sémantique

Prednisone 50 mg
Flovent 500 mg

Fuck the pain away
Fuck the pain away
Fuck the pain away
Fuck the pain away
Fuck the pain away
Fuck the pain away
...

3/27/2007

Bibliothèque-Communautaire: nouvelle et suite

Plus de 200 livres maintenant. Avec en prime, un deuxième meuble, dans le coin de mon bureau.
Environ une quinzaine de jeunes adultes inscrits.
La nouvelle se propage et j'ai des téléphones de gens non-inscrits à mes activités "habituelles" au centre.

Nous sommes en fin d'année financière, nous avons eu des "surplus", des argents non-dépensés, habituellement nous devons remettre cet argent à notre subventionnaire : c'ets à dire:
le Carrefour Jeunesse Emploi de Rosemont Petite-Patrie.
J'ai eu le Ok de ma patronne, et nous sommes partie (oh! Joie!),
à la librairie acheter de beaux livres tout neufs. WOUHOU!!

Alors voîla la liste de nos achats...

1. "Tombe Londres Tombe" de Jean-François Poupart. (Poêtes de Brousse)
Parce que je suis tombée sur : "Tu es né en pleine nuit en pleine mer" - Yep! D'la poésie!

2. "La maison sans miroir" de Véromique Cyr
... aussi ches les Poêtes de Brousse ...
parce que "Ça commence par la couleur du chêne..."

3. "Nikolski" de Nicolas Dicker chez Alto, parce que..
y avait des poissons sur la couverture
Sans blague, j'pense que je vais lire celui-ci en premier, (Binkin que j'vais pas me gèner)

4. "Llouis qui tombe tout seul" de Matthieu Simard de chez Stanké.
Parce que...euh...parce que c'est Matthieu Simard !?!

5. "Soudain le minotaure" de Marie Hélème Poitras de chez Triptyque, parce que, Nathalie m'a parlé du sujet du roman, de ce qu'il traite, et j'ai eu, comme muée par un besoin de faire face, un tremblement, un peu, de ma main, comme soumise par une volonté plus forte, j'l'ai mis dans le panier, et je vais lire, bientôt. C'est certain.

6. "Clame aurore (s'unir ailleurs, du napalm plein l'oeil)"
de Danny Plourde chez l'hexagone parce que...
"sans te connaitre encore t'ai cherchée en fouillant dans les serveuse de fin de shift qui m'ont fait avaler des guirlande de couleuvres ..."

7. "Sonde ton coeur, Laurie Rivers" de Stéphane Bourguignon de chez Québec Amérique.
Pourquoi ? -Sincerement je crois que les jeux de mos de La Dompe m'ont influencés, et aussi
c'est un des coups de coeur de chez Renaud-Bray.

8. "Chant pour enfants morts" de Patrick Brisebois de chez l'effet pourpre.
parce que j'aime Patrick! (sinon parce que je crois que ce genre de littérature va "pogner" avec les jeunes adultes
d'ici et que de lire "il y a quinze million de piscines emplis de sang..." ...

Ici deux livres "coups de coeur parce que des fois je n'écoute que ma pupille"

9. Julie Gaudet-Beauregard "Coup de foudre, clichés et autres atrocités" Illustré par Catherine Lepage
Chez les 400 coups

et

10. Paul Doyon "la petite fille à la robe mauve" des éditions d'art le sabord.
"La petite fille à la robe mauve aimer regarder les trains brasser leurs ferrailles. Entendre les gémissements de fer de leur accouplements. Entendre les interminables rames de wagons hésiter entre avancer ou reculer, jamais certains on dirait de la décision à prendre." -J'ai eue le coup de foudre!!-

Et pour terminer... Des classiques.

Rimbaud (Album Zutique), Kafka (la métamorphose), Edgar Allan Poe (les lunettes et le scarabé d'or).

Et pour faire plaisir à Édrick : Les Thanatotes de Bernard Werber.

(ça à coûter autour de 200$)

...

Voila pour nos achats. Vive les fonds de tirroirs!! Par contre, nous cherchons encore des livres, alors en échange de quelques bouquins issus de votre charmante bibliothèque, je suis prête à aller dîner avec vous !!

Vous désirez des infos ? Un rdv ? Un sauté de légumes ?

projets_1830@hotmail.com

(ou laissez tout simplement un com ici !!)

3/23/2007

Tu danses comme le ventre au milieu du monde.
Ébruitement des cercles-filants sur

l'eau de pluie

salée

demain se fantôme surement puis que

blanche

est la cîme des peut-être.

Et je suis
à travers
comme
l'envers

des chemises

amoureuse pulpe.

3/21/2007

Dans mes oreilles...



Et dans les tiennes ???

3/20/2007

Pas d'image. En attendant le 8. Aujourd'hui de mots.

Aciculaires. Les remords achalandés
Dans l'espace de mes deux pieds...
Et comme tourne les anguilles.
Sur le mur, en haut de la porte. Clouées.

Hier fut

(désir intact impact)

Dans ma chambre, tu déshabilles mes doutes et baisses ma culotte.
Je veux fermer la lumière. Tu regardes mon ventre iris. je veux fuir.
(desirata)
(Je veux.) Tu. Laisses allumée.
(inflammable)
Sur l'endos de la vallée, pyrrhiques coups de hanches in vivo.
(Kill me more)
Ta lave sur mon cul. Sédiments que je lèche. Dévotion sanitaire.
(Breath)
L'on repose enfin sous tes yeux jades. Ta peau ivre. Infusion.
(making of)

Cette nuit je dormirai mieux. Entre les soupirs et encore ton odeur là contre mes angoisses. Avec tes infroissables promesses, tes "je t'aime" livrés en douceur sur le lobe de mon oreille, sous l'ombrelle de nos regards permettre à l'oubli de se commettre un peu. Pour enfin clore les yeux et prendre le temps de goûter la peau.

3/19/2007

Elle avait dit.

Elle avait dit, appelle à 6h30 le matin. Si la boîte vocale est pleine, rappelle à 8h30. Il est 8H26. Le coeur me débat. L'environnement near me joue le trip de LSD. J'ai des sueurs et tout à coup je ne suis plus certaine de rien. Même ce livre qui se construit dans mon nouveau laptop me semble désuet, la jupe grise et les collants noirs, mon nouveau chandail vert jade aussi sont (semble) déconnectés. Et prendre le temps de me maquiller, de "sprayé" mon corps d'un nouveau marfum acheté en solde ce weekend, est superficiel ce matin.

Fuite dans l'univers poupée superficielle pour ne pas trop vivre ce moment conscéquence (ou vérité ?)...

8h32. Je refais les numéros, la boîte vocale est (accessible?) (possible ?) (libre ?)...je laisse le message, je répête le plus clairement possible mon numéro de cellulaire ET le code régional, au cas 2 fois (pour ne pas dire, faillie le répêter 3 fois).

Les dés sont jettés.
J'ai l'estomac noué.

M' en va jetter mon reste de céréals dans les toilettes.

Escuse-moi si aujourd'hui, ni demain, cette semaine ou pendant quelques temps, je n'aurais ni le coeur à danser, ni à faire de la poetry. Je serai intime avec le laptop, garderai mes mots pour moi, pour plus tard, en cascade sur le temps qui passe.

Le vent souffle et mes cheveux se drapent pour s'enfuir. Très sagement, assise sur le banc, j'attendrai mon tour. Sagement prendre la bonne décision, sagement sans dire mot, ouvrir, puis un peu s'endormir. Laisser aller. Car comprendre. Savoir, ce qui en fait est le plus sage.

S'accrocher au ciel bleu. Aux moments heureux. Encore, se dire, que l'on sais, l'amour est là.

Tu es là.

Tantôt. Un autre demain sera un autre mieux.

3/16/2007

Soleil, Soleil...




Juste.
Besoin.
Express.
De.
Vacances.

3/15/2007

Assise au centre de l'arène

Essoufflement généralisé. Les sacs vides, les papiers, les emballages de MacDo, les crottes de chiens qui datent de janvier, ces saletés annonciatrices du printemps qui jonchent les bordures du chemin, et que dire des odeurs, celles qui me lèvent le coeur, me plongent, kilotonniques, dans cette réalité Montréalaise décevante et à chaque dégel, entre l'hiver des cuisses gelées et l'été de celles dénudées...

Ça pue, pis c'est sale en criss Montréal.

**

Je veux mon jardin, ma robe en jutte, mon chapeau de paille, et des kilos d'enfants qui courent nus.
Je veux être encore, avec toi, au Lac-des-Écorces, et sentir l'épinette, et écouter le vent sur le lac gelé.
Et voir les étoiles... "On ne peux pas rêver dans un endroit où on ne voit même pas les étoiles".
-M et K cet hiver-

**

À part ça. Marcher, Travailler, Faire à manger, Écrire, Faire de tout petits ronds puis Dormir.

3/12/2007

Oestrus-corpus-messagus-impossibilus



De phrases alambiquées à des moues bague au doigts.
Le lobbying que je fais à court de verbes, sur les draps

segments d'un. Oubli.

impossible maintenant
d'être
autre chose que

explose dans ta main
marguerite-moi
sur la paume

oestrogène.

***

La boîte vocale de ....... est pleine, veuillez rappeller plus tard.

3/09/2007

Inspirer. Expier.




Les minutes à travers la gorge comme ces éclats de fenêtre qu'on ravale pour cause de passer outre, l'éponge bien serrée dans la main. Se tenir bien les jambes décoratives. Comme ainsi la veille, l'ombre avait préférée se taire, enfouie dans les velours chauds.

La ligne jaune de l'autoroute bien en vue sur le pupître.

Et se fermer les
yeux.
l'instant
des
hanches
couperets.


Demain.
Demain.
Demain.

3/08/2007

Journée de la femme. Et moi. Et vous. + 12:55 : Montée de lait en edit.



(pour commencer la première toune que j'ai chantée. Là où je me suis rendue compte que j'ai une voix. Où je peux chanter.)

***

la journée de la femme nous concerne ...

Parce que...


- 7 % des femmes en Ontario vivant avec un conjoint de fait ou de droit ont été victimes d’agression physique/sexuelle commise par leur conjoint au moins une fois durant la période allant de 1999 à 2004.1
- 51 % des femmes au Canada ont été victimes d’au moins un acte de violence physique/sexuelle depuis l’âge de 16 ans.2
- Il y a eu environ 25 femmes qui ont été victimes d’homicide conjugal chaque année en Ontario entre 1975 et 2004.3
- Près de 40 % des femmes agressées par leur conjoint ont déclaré que leurs enfants avaient été témoins de la violence à leur endroit et, dans bien des cas, que la violence était grave.4
- Les femmes autochtones sont trois fois plus susceptibles d’être victimes de violence conjugale que les femmes non autochtones.5
- 11 % des femmes en Ontario ont été victimes de harcèlement criminel durant la période allant de 1999 à 2004.6
- 74 % des femmes qui vivaient dans des maisons d’hébergement en Ontario le 14 avril 2004 avaient été victimes de violence.7
- 53 % des femmes fuyant des situations violentes ont été admises dans des maisons d’hébergement avec leurs enfants, et 65 % de ces enfants étaient âgés de moins de 10 ans.8
Moins de 10 % des agressions sexuelles sont signalées à la police

Source

Et. Encore ça. c'est tellement pas juste ça...

L,excision- la traite des blanches, la prostitution juvénile , la lapidation...

Et j'en passe. Sérieux. Je veux pas de fleurs moi aujourd'hui. Je ne veux pas de chanson ou de gateau. Je veux que des gens s'ouvre les yeux. Et prenne conscience, non pas brûler son soutien-gorge, mais, se rende compte que, la situation des femmes, n'est pas ce que l'on croit, lorsqu'on est assis dans le confort de notre chouette maison à combustion lente. (le poêle biensûr).

Ça fais pas si longtemps que la femme à le droit, de jouir, de voter...

(au fait c'est en quelle année le droit de vote des femmes, vous le savez ??)....

Pour les curieux, ici : l'historique de la journée de la femme .

Faites quoi vous pour souligner la journée de la femme ??





EDIT. 12:50.

Après avoir lu un billet,et les coms, après en avoir mis un moi-même. Toute faché. Et ce fut assez, assez pour m'enlever le goût d,aller lire, ce que d'autre femmes pensent de la journée de la femme. Aussi entre-autre du Féminisme et autre bidule du genre. Je trouve ça facile de regetter ce qu'et le féminisme en surlignant fluo le fait que es femmes auraient dans un mouvement de révolte, bruler leur soutien-gorge et plus.

Mais faut pas non plus oublier que c'est grace à CES femmes. Ces féministes qu'aujourd'hui on a droit au vote, à l'avortement, aux contraceptifs, etc. C'est grace à des femmes qui se sont battues au front que maintenant, nous, on (doit) devrais ? souhaiterais? prendre le relait, et se battre...

Pas juste pour nous. ALLO!! Se battre pour celles qui ne peuvent pas. Se battre aussi pour les droits des femmes. Et aussi des enfants, de l'HUMANITÉ! OSTI!

Oui, je suis fachée. Navrée. De lire des jeunes femmes qui se disent ouvertes d'esprits, généreuse, cultivées... Mais qui sont tellement rivées à leurs nombrils, qu'elles ne voit pas, l'importance d'un jour comme celui-là, où dans beaucoup de centre communautaires, sur des places publics, l'informations et la sensibilisations à une RÉALITÉ des femmes, qui dépase notre simple confort de nos neurones. Ici, oui, pour beaucoup il fait bon. Ça sent la bouffe qui cuit. On entends Radio-Rock-Ma-Tante. Le ronron de minou. On commande sur E-Bay des trucs pour passer du bon temps avec soi. Parce que l'on travaille sur notre relation avec soi.

SOI.

Navrée.

Parce que je sais c'est quoi. C'est quoi subir la violence. Me taire. Ravaler et passer au suivant. Pour ne pas crever.

Et j'ai été bien heureuse de croiser sur ma route. Des femmes. (des gens). Pour apporter. Pour aider.
Aujourd'hui, c'est certain, je ne me voit pas comme les féministes d'hier. Je dirais plus comme une humaniste.
Là où y a de la souffrance, y a place aux changements. À l'éveil des esprit, pour voir, comprendre et évoluer.

Y a encore trop d'abus faite aux femmes.
Et aujourd'hui, permet d'en parler. ET DE CONSCIENTISER.

(je vais me dé-fâcher d'ici 14h j'imagine.)

3/07/2007

Varia de pot pourris, pigloo, c'est semaine de relache.

Mon Horoscope :

Soleil en Poissons, Lune (Balance) en direction du Scorpion.
...... Vous êtes rempli d'énergie, et votre teint reflète la bonne forme. En effet, avec le Soleil dans votre signe pour votre époque anniversaire, vous êtes une vraie dynamo. (Une dynamo ? pfffft Qu'est-ce que je fous encore en pyjama alors ?!?) Feu! Au travail? Tout est extra mais, fuyez les colporteurs. (Je suis pas au travail)...Le ciel apporte la chance. Et l'amour? Plus on vous désire, plus vous devenez désirable. (eh! va falloir que je sorte de ce pyjama!!).

***

Ma gardienne a pogné la gastro lundi matin, à 7h30 Am. Je suis donc confinée à la maison. Ce qui me fous en boule, parce que j'ai une tonne de truc en retard au boulot. Suis donc en congé forcé!!

**

Pigloo (Émile et moi on s'est fait un fun fou à matin à danser sur ça!!)



**

Je me suis fait couper les cheveux, d'un coup de tête, suis entrée au salon de coiffure, et j'ai lancée, dégrade-moi ça!!
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Bon, j'avoue que c'est pas tout à fait moi, une couple de mois encore au gym, et je pourrais peut-être m'en approcher. (Note à moi-même arêter de bouffer des jujubes.)

**

Et vous, la semaine de relâche se passes comment ?

3/06/2007

sur la pointe des pieds...

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Le mouvement en continu. Écrire, puis lire. Les enfants, et puis l'amour. Travailler, et puis se reposer. Vivre, et puis mourir toujours un peu plus. Vers soi, s'attirer, se charmer, se prendre aux joies du KO au tapis. Contre les fleurs, oui, celle même dans lesquelles on s'enfargeait. Poser le pieds dessus maintenant.

L'espace se scie en deux sous tes paroles de ciel bleu.
Aspirant mes détours au creux de tes vallées. Sans ça.
Je perdrai le nord de mes décisions sans retour en arrière.

Possible.

Pour l'instant.

Les doigts posés bien à plat sur le bois du bureau. Je regarde les sillons que la vie à tracée dans la paume de ma main. Les âges passées sur le dessus. Et le verbeux passion de mes doigts. Contre le clavier, pestant et crevant les eaux de l'urgence d'être. Celle. Là. Enfin qui bat des hanches sous les couvertures.

3/05/2007

parce que

2/28/2007

Envolée d'un faux printemps, d'une vraie chaleur. en mouvement.




Je suis venue au travail, sous le soleil d'un faux printemps, regardant autour de moi, les visages, les appartements, au cas, tout d'un coup, de reconnaître, par hasard, quelqun. Suivant le beat rapide de mes pas. Les pupilles allumées, bien visées au bleu du ciel. Promesse de bientôt m'armer de gougounnes et conquérir le monde Rosemontois.

Dis, ça te dis de venir avec moi ?

J'avais dans la tête, des mots, puis des phrases, un sourire accroché entre chacunes d'elles, et y agrafant d'autre mots, volé ici et là. Des mots volages, déjà surement étreint par d'autres bouches affamées, humés par d'autre corps en espace mouvement latent, brisés par peur d'être ensevellis sous les lignes qu'on trace d'herbes fraîches, où dormir est encore un jeu.

Où peut-être ton corps fut un met, et moi, l'assistance. Des mots pour la route.

Péruvien, pour la chouette rotisserie, Masson et 18 ièm.
Dominicale, pour l'église 18 ièm et Dandurand.
Dépanneur, pour tout ceux en chemin. Me rappellant de bien déjeuner.

Et puis. Arrivé au bureau, j'ai allumée le Mac. Ouvert la fenêtre. Grande.
Immense.
Je me suis assise. Ouvert mes courriels. j'ai respiré l'air de la fenêtre.
Ouverte. Et je sais j'ai déjà dit. Immense.

Oui, j'ai le corps tout à l'envers. Oui, la nausée et les vertiges trop souvent.

J'ai finallement oubliés ces mots. Me restait que ceux que je vous ai donnés. Par joie d'avoir au moins ceux-ci.

Et l'aube qui juste sur le bord de mes lèvres, caresse mes joues et son cou.
S'échappe et vole encore, comme les matins d'eau claire, lorsque la paix fait son nid entre mes bras.

Ça fais du bien, ce ciel gorgé de bleu. Ces pépillements d'oiseaux et se son du vent dans les épinettes sur le bord du lac-des-écorces, que j'entends encore dans le tout près souvenir de samedi. Me rends désormais plus proche de cette femme que je tardais de devenir par manque d'images interne, par manque de mouvements du temps. 36 ans et je sens à peine la vie me charmer de ses plumes.

***

Nouvelle : 107 livres pour mon projet de biblio-communautaire. 3 rangées.
Et un atelier le 9 mars, sur les Haiku (poésie japonaise)

2/26/2007



J'ai lancée mes dents contre ce ciel d'anniversaire.

Puisée des étreintes hélicoïdes. Boire, boire. Boire.

Visages chiffonnés. Saloperie de nuit maritime enclume.

S'écrire au fur et à mesure. Se vomir le milieu des faubourgs.

Et mon ventre showroom. De se pavaner victorieux.

L'encre de ma bouche te cracher tout ce monde ébullition.

Et demeurer à l'équanteur. Aveugle aux échos abat-jour.

Juste à cheval sur un calendrier dont on ne peux effacer les chiffres.

2/24/2007

En Tete. Quete.


(24-02-07. AM)

Je suis allee au Lac des Ecorces avec K aujourd hui. On a passer la journee la, je lui ai montre, la maison ou j ai grandie, le chemin de la sorciere, la maison supposement, et anciennement habiter par un delateur des bickers...(Sa avait fais freaker tout les jeunes ados du coin.), le Ranch El-Ben, oui! oui! la ou a chaque annee, y a le festival du Ranch El-Ben, et sa fameuse course au cochon graisser. (el pour Eloi, et Ben, vous avez deviner, pour Benoit, deux freres.)...

Ben etait la et on a jaser, du passer, de moi, des autres, et sur le perron du Saloon, oui un vrai de vrai, avec les portes, et un stage, ou a 14 ans je foutait I love Rock And Roll, armer de mes jeans full serrer, monter a l aide d une fourchette, et m imaginant devant une foule...je fsais semblant de chanter, donc sur ce fameux perron, un homme, fier de sa reussite. de son Ranch.

Bref. Kelly m a offert pour mon anniversaire de 36 ans, une mosaique de mon passer. Apres 18 ans de fuite par en avant, un regard vers hier, pour continuer de faconner aujourd
***

K a un clavier anglais. Donc pas d accents dsl.

2/22/2007

Remerciements et autres niaiseries.

Je suis contente, j'ai encore plussss de livres dans ma biblio-communautaire !!


Ce matin je reçois un colis de Do.Des livres & un cadeau de fête pour moi!! You!Hou! ...Thank's Do!!


Aussi Monsieur Dompierre qui a su se délester d'une heure,
se rendre dans un quartier glauque, affronter des japonnais et se départir de quelques bouquins...

Bravo m'sieur Dompierre!! Quel sang froid!!


Et sans oublier Véronique Marcotte... Qui déjà était venue nous donner de son temps pour un atelier d'écriture. Nous a offert généreusement de chouettes livres que je vais aussi lire!

(Psst. Véro, merci aussi pour les recueils de poésie...)
***
Autre Niaiseries





**

(haaaaaaaaaaa chu psychopathe. Call me doctor Frenzzfrouchzzfrouchzz)
**

J'oubliais ...tu veux te joindre à cette bande de jeunesauteurs génereux, ou tout simplement vivre de colis, de livres donnés et de contributions à un monde meilleur ?

projets_1830@hotmail.com

(je suis même disposé à un plat de poulet au cari et riz vapeur.)

2/20/2007

Nouveau Je Jeu



Je joue à un nouveau jeu. Mon corps me hurle dans les oreilles, mais je fais semblant de ne pas l'entendre. Ce qui semble être évident de toute part. Entre mes allées et venues nocturnes à la salle de bain, la fatigue spontannée qui consume les membres de ce dit corps, le retard de ce qui habituellement est sacrement fonctionnel et timer comme l'horloge. Sans parler de tu sais quoi, et de l'autre tu sais quoi.

Quand on m'en parle. Je change de sujet. Je veux pas. Je ne peux pas. Assumer, cette fois-ci. Je veux juste restée dans ma bulle, a continuer le gym et rêver que je retrouve mon corps de full déesse de 20 ans, bouffer mes Müslix "Harvest Fruit" et écrire mon truc, roman, poésie, machin avec des mots qui se reposent sur papier quand la tempête surprend mes doigts.
**
(Je me pose des questions tant à la valeur de ce blog. Frenzfreluchz me manque. Faire un "journal en ligne" ne m'enthousiasme pas vraiment. J'adore lire quelques blogs encore. J'en suis surement à ma 5 ième remise en question. À chaque fois je déménage!! Mais cette fois-ci, je vais me conscentrer sur la re-déco.

Un tour chez IKEA Love-Soeur ??

À vous lire, je ne suis pas la seule. Comme ceux qui entame la fameuse et contagieuse déprime d'hiver. Et surement, comme plusieurs femmes qui approche de leur anniversaire. Où je basculerai de l'autre côté, c'est à dire, je serai désormais plus près de mes 40 que de mes 30 ans.)...Et cette décision que je fuis à coup de brasse mots et de tour de piste.

(Un enfant sanglotte en bas, au centre où je travaille, juste en avant du gym.)
(J'ai le coeur qui m'a twisté comme une envie d'aller le prendre dans mes bras...Arghhhhh)

2/19/2007

intermède de peau vetue.





"Quand j'te fais jouir, c'est comme si tu aurais marché dans la pluie."

K a M lors des festivités de la St-Valentin en retard.

2/16/2007

Parce que je sais plus quoi faire. Parce que des crises c'est contagieux.

A little rain dans mon iTunes, le temps d'un voyage entre le lobe de l'oreille, où ça sens l'odeur, celle des rendez-vous de l'autre côté de l'horloge. Il était le combientième ? . Ma mappemonde. Mon au-delà. Amusement land, d'une fuite devenu un centre d'attraction, non plus seulement parc. Juste là. Intersection. Corps en offrande livré pour vous, resucée, certes mais combien fondant sous la dent. La peau s'est faite reine. Et moi, à marée haute, singing locomotion, trève de locution, je cours vomir le dîner.

2/15/2007

Pontage corronarien post neige craché dans mes yeux.




Mon ventre étoffe. Les éclats d'un autre hier partout sur ma peau. Reflet dont on ne peut fuir. Malgré les efforts sur le strairmaster, malgré le Perrier, l'autruche habitude. L'iris qu'on disperce neutron symbiose du trifonctionel présent, le ciel, par la cheville trainé.

(Trifonctionnel: relatif aux trois fonctions,sacerdotale; guerrière; agraire, pastorale, artisanale...)

2/14/2007

La St-Valentin et autres tentations



J'ai mis un beau chandail rouge pour la St-Valentin. Kelly a appellé, pour le souhaiter des calins pis des affaires en chocolats. Il est en voyage d'affaire à l'extérieur. C'est pas grave. J'ai eue le plus beau coeur en papier qui éxiste. Un cadeau d'Émile 8 ans. Monsieur coeur dur, tendre en dedans. "Tu es gentille comme une chatonne" qu'y dit. Woaw! Je suis comblé. Autre cadeau :


Un cd de musique fait pas les enfants de l'école. Donc mes enfants y chantent tous chacuns une toune. C'est l'fun de voir que dans les écoles malgré tout. Ça groove, ça rock pis ça fait pas juste resté assis!

psssttt. Suite à une brève discussion sur MSN. Je me permet de vous dire. Yo! Les gens ne D-E-V-I-N-E-N-T pas c'que vous désirez. Offrez-vous le. Demandez-le. Parlez-en.

Mais merde arrêtez d'attendre et esperer que l'autre devine. (c'est fini ça la belle au bois dormant.) On évite le boudage et les frustrations. Comme dirais ma sweet ponpon-girl juste à moi... MUCH LOVE.
Pis toi ma Love-Soeur... Mon plus sexy Bizou !

2/12/2007

Automatisme contrôlé. Je garoche tout. Sans regarder en arrière.

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Contre ce ventre que tu chantes à craindre l'espace dedans.
Ces écarts maquillés de cerles dépits. Observent amoureux.
Les génitals refrains gomés sur ta bouche. Encore en chair.
Malgré.
Quand se vilbrequin pupilles à pupilles notre danse. Lubrique.
En ronds mauves de. J'n'entends plus mon ventre qui gronde.
Toi ?
Je voulais te dire. Cent fois. Monopole-moi. Je me porte-plume.
Tentatrice caprice segments seuls pour amoureux transis savoir.
Ce qui. Urgence fréquence d'appartenir. Quand le jour s'éteind froid.
Ce ventre de seersucker me souffle à l'oreille. Je me nausée. Encore.



2/10/2007

Vidande d'huile de foie de morue. Changer ses ampoule et faire ses valises.

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Au pieds des abstractions. De formes, de couleurs. D'être expériences complexes et de succinctes étreintes vêtue. Sec ses becs sur la joue donnés. Vide de verres de vin trop bues à force de courbes chemins qu'elle fuit à coup de pardons pitchés comme en manque de caresses et d'émotions crimes.

Elle a finie par fumer ses doigts.
Par encrer le sol à ses pieds.

je regarde aller.

Mes cheveux que j'ai laisser prendre la forme du temps qui passe, libres et naturels. Ne plus me cacher derrière.

Mes mains que j'ai donner droit, de toucher le tangible, l'absolu des êtres que je croise. ne plus avoir peur de.

Ma pensée que j'emplie du goût des viandes qu'on a mariné d'herbes et de vinaigre de vin rouge. Que je laisse mordre et remplir les tripes de ceux que j'aime.

Quand tu poses le pieds sur mes rails, je t'offre et te laisse prendre mes plumes pour ta fuite à toi aussi. Je te laisse regarder dans mes lunettes de tisseuse de bonne aventure. De Manon la waitress comme il dit, ou la machine Jackpot, peut-être, si tu lui laisse le temps de t'attrapper en bouche. Ça fais gling gling. Des fois.

si tu as pas peur des vrais yeux dans les yeux. Des vrais moments qu'on partage quand les cris se font tard, quand les masques se sont tirés. Au nord ou au sud, on s'en criss, le soleil fini toujours par dire bonjour aux montagnes et moi de jouir et de dormir.

Enfin calmée.

J'en veux pu de chemin pendreloque qu'ons e suspends après la bouche en gage d'un vécu promotion, donné en dépit de pas rien de mieux en vue, qu'on achête au walmart, qu'on consomme la nuit, en cachette de cuex qu'on a choisi pour amour, mais qu'on fuit quelque chose qui pince le coeur, qui tremble dans la voix, parce que le passé fini toujours par se venger de nos fuites péninsules.

***

Je le sais, parce que à chaque allusion à.
Toute les semaines de prévention de.
Toutes ces ressaemblances que je vois dans.

Tu peux juste te mentir à toi.
Je peux juste me mentir à moi.
je vois clair dans tout vous autres.
Vous voyez tous clair dans moi.

Ça sert à rien de trop s'inventer. De trop se gongler. Tu rimes secondaire deux. Elle se cuit la fois où les noms se vêtaient célibrités, il se coeur de rocker, et ma love-soeur me touche l'échine. Et moi, et moi, et moi......Je sais peut-être pas toujours écrire, mais mes cris eux...Tu les entends ?


J'ai changer mes liens. Je me fous de ce que tu écris, sinon des émotions que tu laisse t'apprendre. Sinon, de l'authenticité des mots que tu tais. De ces gestes non dit, mais poser à plat sur les pages. Je veux du vrâ. Du senti. J'en ai assez de moi, de mon ventre qui s'empli et qui refuse de cracher. De ces regardez-moi Hiroshima mon amour. Oui, je lis et j'ai lue. Assez pour savoir que tes yeux ne se pose pas ici.

Assez pour savoir que d'autres oui.

Et c'est ses yeux là que je veux caresser.

***

Je poursuivrais peut-être un autre jour.
Sur ce stage qui m'evanouie tellement j'en ai bouffé.
Mon histoire de sautages dans les cerceaux en feu.
Mon histoire, si le vent arrive à se sucer l'nombril.

Si Kelly m'offre un Laptop. A ma fête. Ailleur dans mon lit. Je poursuivrai.

2/09/2007

VENI_VIDI_VOMI

Mon 4 et demi est déclaré zone sinistré.
Un virus a contaminé ma sympatique famille.
Mes enfants sont vert fluo, armés et dangereux

Ma tribu souffre de la gastro. YÉÉ!
Je me retranche donc dans mes quartiers.
Armée de gants jaunes pis de javex.
Pédialite dans le frigo, bananes, riz blanc.

Maman rit jaune.


M'en va avoir la nausée solide.

Ce weekend cherchez moi pas.

Je joue à tag gastro.

(Tu veux jouer avec nous ?)

2/07/2007

Question.


Est-ce que quelq'un a le foutu laisser-passer A38 ?
C'est que là je commence à être borderline.

2/03/2007

Parce que you Rock me sti !!

1/31/2007

La tempete dans ma tete. Pause. 2 minutes. Ou peau-pourrie de mon ame état.



Je t'ai offert tendre à manger.
Tenir en joug, qu'ils disent.
Horizontale soumission. Je.

Aussi.

Drink all over. Si tu veux.
J'me tue rivière toujours.

2 minutes et demi s't'en masse.

Et si ça marche pas avec toi.
Je cause avec mes doigts.

(Aqueduc de fallope aussi qui est écrit page 103.)

J'mèle souvent avec salope. Les lettres.

Ça me fais tout chose d'être déclarée "zone grise", trop fucké pour les straights, trop staight pour les fuckés, faut que je traîne ma bûche oueske que d'autres se la font tirer. (C'est quoi donc ça de la poésie ?). J'envie ceux qui peuvent se permettre d'acheter des fringues de grands couturiers qui font tendance. Moi, je me contente de racheter les vôtres, 2 ans plus tard, dans les secondes mains, quand je suis chanceuse, je fais "Plateau", pas trop "sans le sous". J' va au gym pour baiser le temps qui laisse sur mes hanches un goût des années sucrés dévastés trop déjà vite passées, vestiges de ma peur d'être admiré. Reconnue. Belle. J'me bas contre ça, entre-autre. Et contre les ridules qui se forge un chemin dans ce beau visage que tant d'hommes ont négligemment aspergé de toute leur appétit d'être en vie.

**

( "c'est quand là que tu vas être une vedette?" qu'y m'a demandé Kelly cette semaine)

-j'imagine que ça va me passer. Un jour, m'a me contenter d'être moi. Juste ça. Toute ça. Sans trompette, ni fanfare.

**

Aquanaute qu'j'suis, quand Tom Waits squatt mon Itune.
J'me suis égaré entre mes lignes, j'sais plus ce que je voulais te dire.

**

Freak, je ressemble de plus en plus à ma mère, quand j'avais 13 ans pis qu'à me semblais déconnectée.
Meme si je me camouffle tout ça dans une tuque avec une tête de mort dessus, pis mes tounes d'révolté.

(Fuck je viens de faire rimer en "er")

(ça me rends dingue de travailler sur des stats- faut que j'y r'tourne d'ailleurs.)
-Maintenant c'est "Alice" qui joue. Deux coups de fouet et je retourne travailler.-

**

Oh oui, j'oubliais, je veux tellement aller m'acheter des sexy collants au Simmons.

1/30/2007

En dépossession, prendre un coup d'oxygène, et reprendre possession. Du temps, de ses enfants.

Pédagogique pour les enfants à 15$ par enfants multiplier par 3 enfants = porte-feuille vide et maman en beau c#@?%.

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passe politico-maman-fru :

D'puis les coupures din services de gardes dans les écoles du primaire : eille, imagines oh! toi lecteur et lectrice, que par enfant maintenant il en coûte 7$ par jour pour le dîner et 1h le soir. Alors pour les pédago aussi ils ont coupé, avant c'était 5$ par enfant pour la journée, maintenant c'est 15$ par enfant. Shit, pour 3 enfants ça me coutait aussi cher que mon loyer par mois, argh. Maintenant, depuis cette année, je prends congé lors de pédago.

Je fais des activités à la maison....

Aussi, je veux juste mentionner que le fait que le gouvernement rende les frais de médicaments pour les assisté sociaux à "Niet-eu-rien-du-tout-un-gros-ZÉRO sans égarts pour les aptes au travail ou non, et ce à partir de juillet -je pense, si je me souvient bien), me rend complêtement D-I-N-G-U-E !

Pas que j'en ai après les assistés sociaux. Mais nous, les familles, ceux qui sont mono-parentaux, qui travaillons à un salaire tout juste acceptable, crime, juste un exemple, une visite (annuelle) au dentiste (donc tout le monde lavage de dents, réparations des caries, etc) : 1 000$. Me semble, que re-descendre les frais de dentiste comme s't'ai quand moi j'étais petite, si je ne me trompe pas, les frais étaient couverts jusqu'à 16 ans. Maintenant faut payer le nettoyage (autour de 50$) pour les jeunes enfants, et les caries à partir de 8 ans. (Si je me souvient bien).

Pourquoi ne pas investir là ?

***
Un diapo des activités en familles qu'on a fait hier.



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(on a pas d'ordi chez moi, alors on re-découvre le plaisir de jouer archaïchement!!)

Vive V-Tech.

**

Je réitère ma demande de livre usagés.
Là, on a réussi à avoir un petit budget, je vais commander3 revues du Zinc,
pour la bibliothèque, et faire connaitre aussi les jeunesauteurs.
Je vais aussi chercher des auteurs, poêtes, journalistes, etc...
Pour v'nir jaser de leur métier, leur oeuvre, etc.

Tu veux des infos, passer un commentaires, gêne toi pas.

projets_1830@hotmail.com

1/27/2007

Sous ce bleu de ciel, le soleil, mon souffle cristallin, n'importe quoi, pour toi.

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Crescendo pénombre, la confidence.
Embrasée par le feu communion.
Faille organique sur la chair.
Rose. Sertie d'encre séjours.

S'éprendre des contre-jour prosodies.
Prescrit lors des îlots solubles, jadis.

Et souhaiter que se taise le brouillard.

Un moment. Le temps d'y voir plus clair.
Se prosterner à la portés des tirs canons.

Et de se prendre les pieds aux fleurs du tapis.

Et se rasseoir. Près. Protection lys effluves à mi-corps, au lustre soyeux des abandons plénières. Gouache peur sur tes doigts Ophélie, tes armes levées, puisant hypocrite des mots effigies, des drapeaux quasars. Trompant le plus imberbe vendredi.

N'ai crainte, je veille l'alouette.

***

Tient-moi bien par derrière, que mes cheveux se plantent bien dans tes yeux. Que mon corps soit cousu de blanc. Ma bouche pleine de mes cris.

1/26/2007

Se plaindre or not to be. Give me ta pitié!

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C'est pas ma semaine. J'crois pas être en SPM, maybe j'suis en ISP (intense-sensible-personne). C'est peut-être la pillule du lendemain que je me suis tapé faute de devoir again acheter des couches dans 9 mois : ça m'a tout déballancé les hormones, je reçois plus les fréquences marées comme d'hab de mes majestés d'ovaires. C'est-tu le frett hivernal, ou mon régime combiné à la reprise de mon entraînement au GYM ??

C'est n'importe quoi, j'ai l'oeil tout enflé depuis hier, j'fais une méga crise d'asthme, j'ai moffé mon document de formation hier: pétasse d'ordi PC qui m'a chié din main, (aujourd'hui je fais un atelier sur les besoins essentiels pis j'ai l'air d'un reste de table période post-Hitlérienne, mes enfants se paignent d'avoir l'air d'un remake poche de la guerre des tuques avec leurs foulards-trop-grands-pas-assez-"fashion". Pff, sti de génération gatée pourrie qui sait même pas s'est quoi avoir froid!

*soupir*

***

Maintenant ça va mieux.
J'ai tout de même une féroce envie de lutter avec un ours dans bouette.
M'semble que ça m'ferais un bien fou...

Ça t' tentes toi, de v'nir lutter avec moi ?

(Pense que je vais aller déjeuner, j'ai p't'être faim.)

- Miamy une bonne botte de foin, banane et lait 1 % -

ÉDIT. 2. 15h45.

Me suis pogné avec une participante de mon projet ce matin, elle était full Jésus Freak. La croire, je suis en santé (oui oui en santé) grace à Dieu. Oui! Tous à genou et rendons gloire à Dieu. (Dis maintenant que tu es à genou, tu peux me ramasser mon trombonne ?)

GLOIRE À DIEU.

Merci Dieu pour avoir créer les blobs.

1/25/2007

Juste

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Encore son odeur aéronef sur mes doigts endormis.
Encore l'écliptique symbiose de nos corps épousant.
Rythmes et cardiaques trépassements. Yeux clos.

Oestrus temps. Fugit on me. Blancheur royale.
Je suis de flamme et d'égo boostée. Love sun.


***

NEWS.

Je suis rendue 35 livres dans ma bibliothèque-communautaire.

Merci à Swan pour sa générosité de coeur et de livres.
T'es un amour !!


Éveiller l'interêt pour la littérature chez de jeunes adultes en marge.
C'est d'autant plus gratifiant que ça coûte pas non plus les yeux de la tête...


Ps. Les jeunes auteurs et les moins jeunes...pensez-y vous aussi...



(En prime vous rencontrez la charmante Bulle de Pepin !!
)

Edit.
Y a Richard l'homme de maintenance au centre, qui vient de m'amener rien d'autre qu'un Proust (du côté de chez Swann -je le jure y a de ces hasard!!-), un Beauchemin, et un livre de psychologie. Tous en choeur..MERCI Richard...Et encore merci ma douce Swan!!!

1/22/2007

Sur mon bureau. Des piles de Dossiers à règler. Mais en tete un tête à corps à sauter!

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(Réchauffements)

Weekend où danser se congugue entre moi-même et mon Mp3.
Australes mouvements contre, les astres se sont lancés à l'eau.
Faire escale et regarder de face sa montre. Marjolaine se fume.
Les danseuses bleues d'Edgar. Mon pain à la sweet marmelade.

(Poids libres)

Wold music on me. Dance.
Solid gold entre mes dents.
Solitude doigt pragmatique.
Sur les matières charnelles.


(Étirements)

Ma bibliothèque-communautaire compte maintenant 18 livres.
Maintenant, j' m' empare du dossier sur mon bureau. Je boss.

1/19/2007

Babounne.

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Je veux des livres pour mon projet de biblio-communautaire. Bon.

1/18/2007

En musique, en coeur et au travail... Je lance cet appel!

Sur ce que j'écoutais en marchant de chez moi au boulot.

**

Je vous lance un appel.

Contexte : Je travaille dans un organisme comme chargée de projet en employabilité pour de jeunes adultes 18-30 ans, dans le quartier de Rosemont. Dans le cadre de ces activités nous avons reçu Véronique Marcotte pour nous donner un atelier d'écriture. (re-merci Véronique!).

Aussi, lors de la marche mondiale contre la pauvreté de cet automne 4 jeunes adultes du centre, ont écrit et lu des textes lors de la soirée de clôture de l'activité, et ont sorti de cette implication, grandis et fiers. Ils ont aimé. Nous aussi d'ailleurs.

Très formateurs comme expériences, y est soulignés en fluo, l'importance des petits pas, des réussites qu'on voit; qu'on saisis à bras ouverts, qui se font concrêtes est le moteur et le pourquoi de l'évolution et de la (re) prise en main de plusieur jeunes adultes qui passent ici, pour tellement de raisons que je peux même pas vous en faire le portrait type, et sincèrement, je trouve que c'est justement la richesse d'un lieu comme ici. La diversité et le goût d'évoluer qui se sent ici, comme un bon pot au feu qui mijote !


L'intérêt de ce genre d'activité est là.
Les jeunes adultes présents sont motivés!

Opportuniste au max, je récupère donc cette flamme, par un projet "d'exploration littéraire".
Ce projet est encore hybride, mais, les adultes du centre sont déjà parti prenante et quelques-uns s'y mettent bénévolement ce vendredi, dans la mise sur pied.


Donc ce que je vous demande aujourd'hui. Si vous avez des livres, dont vous n'avez plus besoin, nous aimerions vous en débarrasser!! Nous aimerions monter une petite bibliothèque à l'intérieur de nos locaux. Et autour de ce service, des cafés rencontres où nous discuterons de nos lectures, des ateliers de créations littéraires.

Et sûrement un blog pour vous les faire lire, ou un livre, ou une soirée lecture ??
Comme je disais, c'est "sky is the limit"!...


Pour commencer la biblio...

Tu as des livres à nous donner ?

Tu veux plus d'informations ??

Contactez-moi à cette adresse :

projets_1830@hotmail.com







Merci !!

1/16/2007

En fenetre sur les pieds bouts. Le chemin en moi.



Je trouve ça dur d'écrire. Libérateur aussi. De pas en pas, de lignes en lignes. Je cafouille, je ne sais plus. Je trouve que les mots zig-zag itinérants, sans regards aux autres, sans rancards à L'agenda. Se poussent, happy de sortir, groggy d'avoir passé autant d'années à dormir dans ma gorge. Liqueur framboise entre mes rives trop chaudes d'être seulement à moi, me soufflant d'appartenir à un amoureux, ou un amoureuse, qu'importe, desiderata androgyne de possession cobalt, quelque part ailleurs qu'en mon abdomen, à faire escale entre des mains. Inconnues. Concubines.

Mais pourquoi donc cette soif de voyage ?

Tout ça me questionne.

40 pages. Déjà.

Une ligne d'ouverture.
Trouvée. Celle de fermeture.

Mais entre tout ça. Un méandre d'apostrophes, de veines tracées en cas, de vides saut périlleux, de fluviatiles traits à la limite de l'obsène sur mes cahiers. Ma chair en lambeaux sur le cover of a magasine. Je vois d'jà l'image, les dessins. Le but. L'ultime. Je ne sais plus où je vais avec ça. Avec ce livre qui me tient les jambes, comme un enfants qui refuse que sa maman parte sans lui... Tu vois le genre ?

Et la grande question. Trop géante pour être nommer ici.
Trop angoissante pour être noir sur blanc.

Et moi, mes angoisses en constant geyser.

Est-ce que j'écris vraiment de la poésie ?
Pourquoi tout ces paragraphes qui se sont attroupés sur mes pages ?
Ai-je les reins assez solide pour en faire un roman ?
Et puis, ça se peux-tu un roman poême ?

Et pourquoi je veux écrire ?

1/15/2007

VOus Quizzez, Tu Quizz...Je Quizz...Elle Quizz ??

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Doparano et Meth m'ont refillées (Oh! Joie indescriptible) ce Quizz.
Alors voici mes réponses.
1. Attrapez le livre le plus proche, allez à la page 18 et écrivez la 4e ligne .
« La définition du projet personnel et professionnel est une composante pédagogique… » :
-Pour une approche biographique en orientation-
« l’intégration de l’histoire personnelle au choix de profession-
(ishhh…Je sais, je suis au bureau.)

2- Quelle est la dernière chose que vous ayez regardée à la télévision ?
Découverte, avec les enfants.
(îles Galapagos...terriblement sexy, hâte à la semaine prochaine, la suite)

3- Sans vérifier, deviner quelle heure il est ?
11 :10

4- Vérifiez, il est…
11 :02

5- En dehors du bruit de l’ordinateur, qu’entendez-vous ?
Mes voisines de bureau qui se racontent la fois que…

6- Quand êtes-vous sortie la dernière fois, qu’avez-vous fait ?
Sortie comme dans « sortir = plaisir, amusement, distraction» :
St-Sauveur, bouffé au resto avec K.
Sinon : « sortir comme dans aller dehors tout simplement » :
Été au gym. Puis travailler.


7- Que portez-vous ?
Trop souvent, je porte tout le fardeau du monde sur mes épaules,
mais tout doucement j’apprends à ne porter que le mien.
Ce qui fait, que mes pas vers demain se font plus doucement
et les yeux sont plus légers à lever vers l’horizon.

8- Avant de répondre à ce questionnaire, que regardiez-vous ?
Ma liste de retour d’appel à faire,
et ça ne me tente pas de rappeler tout ce monde.
14 personnes.
Ça fait trop de monde dans ma bulle un lundi matin.

9- Avez-vous rêvé cette nuit ?
Non. Je rêve éveillée.

10- Quand avez-vous ri la dernière fois ?
Au téléphone hier soir, avec K, parce que je fais toujours ces terribles lapsus,
ou je me mélange avec les fff et les chhhh.
Et ces jeux de mots affreux.
Tk. Je devais être fatigué à 21h.

11- Qu’y a-t-il sur les murs de la pièce où vous êtes ?
Du vert et du beige (Ok Richard (responsable du bâtiment ici...)
je m’excuse, pas du beige, « Praline ».

12- Avez-vous vu quelque chose d’étrange aujourd’hui ?
Moi. Et c'est à tout les jours.

13- Que pensez-vous de ce questionnaire ?
Boring, mais moins que ma liste de rappel à faire.

14- Quel est le dernier film que vous ayez vu ?
Petit poulet.
Et j’avoue que j’ai eue 2 ou 3 larmes quand il est assis sur le toit,
demandant au étoiles une chance d’être aimé de son papa.

15- Si vous deveniez multimillionnaire dans la nuit, quelle est la première chose que vous achèteriez ?
Ma maison d’édition.
(m’a être certaine de publier, et puis j’ai tellement peur de …)

16- Dites-nous quelque chose de vous que nous ne savons pas encore :
Je suis intelligente ?
Je suis genée ?

(Et je fais des efforts surhumains pour ne pas faire de fautes,
vivre ICI et MAINTENANT, ne pas angoisser, aller au GYM et bouffer le matin.)

17- Si vous pouviez changer quelque chose dans le monde en dehors de la culpabilité et la politique, que changeriez-vous ?
La façon de voir de certaine personne. En fait, de tout le monde.
Un genre de « changer de place » universel.
Pis on s'garoche tout doux dans boîte à bois.

18- Aimez-vous danser ?
Oui. Surtout sur toi. Y a de la bonne musique dedans ma tête.

19- Georges Bush ?
Pion mit devant, pour stimuler le besoin de Haine.
Sérieux, tant qu’à être contrôlé par quelqu'un,
j’aime mieux lui, qu’un fucké qui croit que quand on crève y a 1 000 vierges
qui t’attendent. Genre.
De toute façon de chier sur lui,
empêche de regarder s'qui se passe ailleurs.
Mais en résumé. Seulement un autr’pion sur l’échiquier.

20- Quel serait le prénom de votre enfant si c’était une fille ?
Jade, Juliette ou Jeanne.
(Je sais. Mais, K adore les prénom débutant par J.)


21- Et si c’était un garçon ?
LES NERFS !!
Sincèrement, vous croyez que je vais me creuser la tête sur celle-ci ?
Vous ne pensez pas que j’en ai assez des « garçons » vous ?
J’aime mieux même pas y penser.


22- Avez-vous déjà pensé à vivre à l’étranger ?
Euh, après avoir vécu « étrange », nah !
À moins que Québec ou la campagne soit l’étranger ?
Non, ça me va le Québec, Canada.


23- Que voudriez-vous que Dieu vous dise lorsque vous franchirez les portes du paradis ?
C’est quoi ça « Dieu » ?

24-Quelles sont les 4 prochaines victimes que j’invite à jouer avec l’infâme questionnaire farfelu sur leur blog?

Pfff personne à joué quand j’ai choisie des victimes l’autre jour.
Alors faites donc KESS VOUS VOULEZ…

Dis-moi,toi Love-Sœur tu veux jouer ??

1/14/2007

Offerte, écartellée. D'entre toute. À genou je vous. Suçe la pupille.

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Artillerie lourde, tu. Aimes-moi.
Le con confiture sur tes doigts.
Une histoire osmose 13 fois arcanes.
Trou-madame : t'es à cheval sur l'échiquier.

Le goût sucré de la vanille encore soufflée sur toi.

Crème charlotte sur tes lèvres.
Le saphir de ma culotte en ta main.

La complexité des arguments se perds, voltige embrasement des murs, le calme influx, à bouche tatouage trompe-l'oeil, appercevoir la plénitude au détour des fantômes peaux. Et s'infuse la verveine.

Symétrie pulsar.

On se bois le psyché.

Les amants se sont tus.
L'indécence repartie.

J'ai rangé mon inhalateur, classé mes peurs, embrasser la douleur. Et enfin, pourchassé l'heure jusqu'à la plus ingrate aiguille contre les fractures à payer.

1/12/2007

Je lance mon regard en hier. Viens, pupille avec moi.



Quand je suis arrivé à Montréal, ça m'a pris environ 6 mois pour me retrouver, au Foufs,
puis assise sur un bloc de ciment, aux "Blocs".
J'avais à peine 20 ans, des trous dans les poches,
une ribambelles de souvenirs de fonds de rang,
encore les doigts tachés de fraises des bois,
le rire en vente d'après Noël.

Je sais pas trop pourquoi, mais dès mes 14 ans,
c'est ça que je voulais être.
Puis à 18, j'ai fuis mes parents. Loin.
Dans une ville qui ne dort pas la nuit.
Puis j'ai fuis le trou dans ma tête.
J'ai sniffer un avion vers "forget it road".
Me suis déguisée en char d'assault.
Crevant les yeux des trop audacieux.
Petant les lumières des sales pervers, déroullant leur billet verts sur ma main.
Avide, camoufflant les failles par reflet blanc poudre sur 1 pack de smoke.

Peut-être le côté rebel, le côté roff, la liberté, l'expression.
Je cherchais le moyen d'exploser mes barrières.
Je voulais à tout prix mettre l'univers entre moi et le passé.

Ça a marcher.

Quand j'y pense ça me fais drôle.
Vraiment l'impression d'avoir vécue une autre vie.

Vraiment.

L'impression.

D'avoir été dans une autre dimension.
Mais. Quand j'entends :"Hélène et le sang"
Je peux pas m'empêcher de vouloir le tuer.

C'lui qui m'a donner envie de me visser des studs dans peau.
J'ai pas fait la paix avec certain aspect de mon passé.
Je garde tout en tête, au cas.
Sait-on jamais.




1/11/2007

Pour Julie. Toi. Les temps libres.Et moi. Encore des cahiers!!


Encore des cahier m'man.

Extraits.

"Keep on Working serie"

Quand tu me parles au téléphone...

je suis peut-être en train de faire des dessins
...et je t'écoute à moitié
C'est pas de ma faute si je suis distraite.
-joli regard aiguichant-
***

Je trouve ça long et plate des réunions,
alors je fais de tout petits ronds, barbots, des fois des dessins.
Oui, oui, je sais je suis distraite.
-Moue de BB-
***



Mais souvent, aussi, surtout le vendredi, je crée avec les participants.
Et c'est là, toute la joie de mon travail.
Le plaisir d'y être. Un exemple. Ce collage.
-je peux alors être full distraite-...cool-

***

Avis aux enfants. Tournez la tête. Ce jaune tue.
Rubrique "enfer et damnation canari".


C'est la chose la plus laide de mon inventaire "cahier de travail".

En plus d'être jaune canari, pleins de ratures, de barbots...

Elle représente bien mon grand besoin de pullules et mon

troube de personnalité. C'est THE tablette du vendredi matin.

aille-aille-aille.

-Ici je ne suis pas du tout distraite,

Je te fouette pour pas que TU le sois!

(toi sont comment tes cahiers ?)

1/10/2007

Nouveau jouet. Des heures de plaisir. Tension attention, y a un chauffard qui sniff ma ligne de vie.

J'ai un scanner entre les mains.
Tension- Attention.
Et si c'est moi, qui sniff ta ligne de vie ?



Je vous offre, un scan d'un de mes cahiers.

Cadeau.

J'ai écrit peau et prune chair hier soir.

J'avais le corps qui sonnait occupé. 2 hrs.
De tendres caresses plumes papiers, coîts.



(psss. j'ai penser à toi, avec sur mon lecteur MP3
"Love on the beat" de Gainsbourg.
Est-ce mal docteur ?

Vais-je brûler en enfer de me plonger en ces mémoires corporelles interdites

Et s'il entendait mes cris dans les écouteurs. Ces fresques rivières sur le ciel.)

Suis-je mal ?

1/09/2007

Terre appelle la bulle. Une hésitation et l'air me prends les pieds.

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À lire mon horoscope, la poissonne que je suis, devra en cette année 2007, apprendre à marcher sur terre.

Moi la poissonne, la rêveuse, le monde d'émotions, de créations, celle qui ssais sans mots, celle qui ressent le vent au delà des apostrophe, et qui trouble à la moindre vague, qui ondule sous les coups de hanches de la lune sur des draps orchidés.

Moi le concret. Le ici maintenant. Contrôler ses vastes prairies ou d'habitude c'est toi qui dévales pour me laisser nager dans tes yeux, heureuse de m'y évader. Ne plus vivre d'évasion et de portes menant aux paradis de peaux et de chairs vêtue.

Moi faire ça ?

Ça me terrifie, et en même sa me rend toute les mains moîtes. Parce que, en même temps, l'amour, le vent, la tendance, m'amène à prendre ce tournant, à prendre en mes mains ces vallées sous mes yeux. Et, croire. Croire à ma capacité de construire, ce que je veux, et comme je veux. À inculquer passion et imagination à tes paupières vendanges et inscrire un nous entre les pages plus si blanches. Parce que le bleu de l'encre à noirci les doutes, un à un. On est encore un peu dedans. Mais chaque jour, se peine un obus, se largue une page, pour ici. Vivre.

Et à partir de ça. Regarder de face, toute cette terre. M'assoire dessus, et ne pas rêver ma vie, mais belle et bien la mettre en mots, la coucher sur mon lit, la tenir bien serrée contre ma chair et lui faire l'amour, comme si le présent était la seule paroie où s'accrocher pour mener loin. Vers l'horisons des amours constructions.

Tu as besoin de mes pieds sur terre.
Même l'horoscope le dit.

***

-moi qui esperais avoir la paix en 2007. Là. Voilà que je vois me relever les manches et semer en terre.-

Bulle reste sur terre.

1/05/2007

dans mon lecteur Mp3




(J'ai 'achaler" mes enfants, en hurlant, le balais dans les mains, sautant, chantant, ... pfffft...les enfants, ces empêcheurs de tourner en ronds.)

:)

Toi, kess t'écoute ?

1/04/2007

Entre les murs des arcanes. cartes à bulles. vol au dessus.

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J'ai mal au ventre. Période de sans dessus dessous féminine.

Le regard tagué au verbe. Le roti au four, arômes ail, gingembre, orange flirt avec des patates roties. Pain à l'ail.

Plus ou moins faim. Trop mal, encore, première journée d'avalanche, patience, d'ici quelques jours, calme plat hormonal. Deux midols. Unc coupe de vin rouge. Je regarde mon reflet dans la coupe.

**

Ovale.

**

Pour l'instant. Ça sent bon dans ma cuisine.
Pour l'instant mon esprit ère libre. Entre.
Sur l'espace de d'un. Se prendre pour elle.
Je des pas de deux. De ce corps trop grand.

**

Je reprends mon livre dans mes mains.
Encore, incorrigible idéaliste. J'ai.

1/02/2007

poser son regard sur. et envie ne pas s'enfuir devant. regarder son ombre de face.

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J'ai grandie aujourd'hui. J'ai été immense. J'ai pas eu peur de perdre. Pas eu peur du tout. Juste été moi, jusqu'au bout du chemin. Sans angoisse au ventre, juste ce que hurlait mon coeur en bouche. Juste des mots sanguins tatoués sur les lèvres de l'autre, souriant et satisfait de cette décision, de rendre les sentiments coincés dans les artères, encore vierges d'être nommés, mais plein d'ardeur turquoise de se retrouver àLa,ir pur, enfin, libres.

J'ai affrontée et regarder dans les yeux la voix à l,autre bout du fil. Puis, j'ai tournée ma tête vers l'amour et j'ai dis "non". J'ai sortie de mes tripe cette terre qui gronde et lancée mes éclairs par dessus tes jambes, et tu ne les a pas prit à ton cou, tu lui a aussi cousu de fils la voix, tu lui a dis moi, la vie, l'amour, le choix. De moi, aujourd'hui.

J'ignore de quoi va être fait demain. mais je ne veux plus en avoir peur.


Julie a parlée de montagnes russes, des fois Stéphane hurle à la lune, Vidoc lui, referme ses bras autour de sa douce et le crit au et fort, je vois Pascale ouvrir ses ailles plumes à plumes, et toi espèrer dans tes quartier qu'elle te revienne un jour, et tout les autres, aimer bien, aimer mal, mais chercher l'impossible étoile, la quête, l'absolu.

Le rêve ?

L'amour. Juste l'amour. Et avec au coeur, l'impression d'être dans le chemin le plus beau et terrifiant à la fois, mais le plus grandissant qu'il m,a été donné de suivre. Et il est là. Encore. Plein de tours au coeur et de branches dont il faut se méfier, certes, mais aussi avec les plus beau coucher de soleil et les baies les plus rouge qu'il m'ais été donnée de goûter.

Je sais que hier je pleurais. Je sais que d'autre averse surgiront car le soleil qui brille là-haut n'est pas un acquis ultime...

Je sais que ces moments sont précieux. Et je suis immensement heureuse d,avoir sur saisir le filant étoile ce soir.

J'ai grandie se soir. J'ai été le temps d'un KO avec la peur, une géante, une battante, digne d,elle qui jadis arpentait les rues la nuit sans peur, armée d'un sang froid, et les poches pleines de goût de défoncer les portes.

***

Ps. je suis contente de t'avoir parler hier. Vraiment. Merci beaucoup.

1/01/2007

J'ai pognée la tag. La clef de mon jardin secret. Pour 5 pas...dans mes harbes folles.

Ma Love-Soeur m'a refillée la tag. Je dois donc vous livrer 5 secrets.

Maisss... chutt que ça reste entre-nous.

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1. Je regarde Virginie r-e-l-i-g-i-e-u-s-e-m-e-n-t et ce depuis la toute première année. J'adore !

2. Un amant m,a déjà possedé avec 2 i-m-m-e-n-s-e-s concombres anglais (épluchés préalablement biensûr)

3. j'ai peur d'être aimée. En fait, je donne toujours plus que je ne reçoit, je suis nulle pour l'amour, je cause body langage. Mais j'aime follement. J'ai peur que je crois profondément pas mériter d'être aimée. Là. Aujourd'hui, j'aime vraiment un mec, et loin d'être parfaite, cette relation est celle qui se rapproche le plus de ce que je voudrais en fait de sentiments. Mais j'ai encore si terriblement peur.

4. Je me sens toujours coupable de tout. Et ce depuis que je suis née.

Le dernier.

5. Quand je suis nerveuse, je m'arrache la peau en dessous des pieds. Et ça fais mal !

***

Je lance la tag, à Meth, Minja et Dompierre...

Se semer loin. Puis boire le vent. mon entrée en 2007.

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Mon jour5 de l'an... Des chips, "Petit Poulet" et Scrabbles avec les enfants.
Souper à 20h30, écouter Émile chanter du Joe Dassin.
Puis écouter Duffort et sa revue 2006, et le Bye Bye de RBO.

Deux bisous à Marion (Émile dormait) et dodo.

**

Entre temps, jongler avec les pensées d'adultes, mon ventre me hurle de laisser-aller. Le coeur de croire. Mes paupières se tempête. Et le reste, flagèlle tout désir autre que chasser le froid à coup d'oreillers sur mes pourquois.

***

Je ne veux plus écrire.