J'ai grandie aujourd'hui. J'ai été immense. J'ai pas eu peur de perdre. Pas eu peur du tout. Juste été moi, jusqu'au bout du chemin. Sans angoisse au ventre, juste ce que hurlait mon coeur en bouche. Juste des mots sanguins tatoués sur les lèvres de l'autre, souriant et satisfait de cette décision, de rendre les sentiments coincés dans les artères, encore vierges d'être nommés, mais plein d'ardeur turquoise de se retrouver àLa,ir pur, enfin, libres.
J'ai affrontée et regarder dans les yeux la voix à l,autre bout du fil. Puis, j'ai tournée ma tête vers l'amour et j'ai dis "non". J'ai sortie de mes tripe cette terre qui gronde et lancée mes éclairs par dessus tes jambes, et tu ne les a pas prit à ton cou, tu lui a aussi cousu de fils la voix, tu lui a dis moi, la vie, l'amour, le choix. De moi, aujourd'hui.
J'ignore de quoi va être fait demain. mais je ne veux plus en avoir peur.
Julie a parlée de montagnes russes, des fois Stéphane hurle à la lune, Vidoc lui, referme ses bras autour de sa douce et le crit au et fort, je vois Pascale ouvrir ses ailles plumes à plumes, et toi espèrer dans tes quartier qu'elle te revienne un jour, et tout les autres, aimer bien, aimer mal, mais chercher l'impossible étoile, la quête, l'absolu.
Le rêve ?
L'amour. Juste l'amour. Et avec au coeur, l'impression d'être dans le chemin le plus beau et terrifiant à la fois, mais le plus grandissant qu'il m,a été donné de suivre. Et il est là. Encore. Plein de tours au coeur et de branches dont il faut se méfier, certes, mais aussi avec les plus beau coucher de soleil et les baies les plus rouge qu'il m'ais été donnée de goûter.
Je sais que hier je pleurais. Je sais que d'autre averse surgiront car le soleil qui brille là-haut n'est pas un acquis ultime...
Je sais que ces moments sont précieux. Et je suis immensement heureuse d,avoir sur saisir le filant étoile ce soir.
J'ai grandie se soir. J'ai été le temps d'un KO avec la peur, une géante, une battante, digne d,elle qui jadis arpentait les rues la nuit sans peur, armée d'un sang froid, et les poches pleines de goût de défoncer les portes.
***
Ps. je suis contente de t'avoir parler hier. Vraiment. Merci beaucoup.
1/02/2007
poser son regard sur. et envie ne pas s'enfuir devant. regarder son ombre de face.
Envole-toi avec Manon dans sa bulle à 2.1.07
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6 commentaires:
Faut que tu me racontes....
m'donne quasiment l'gout d'manger de la marde de clown.
:{
Tes gars ont la meilleur maman du monde: elle affirme ses peurs. C'est super important à mes yeux. Nous ne sommes pas invincibles, nous connaissons des échecs, faut leur montrer, faut qu'il sache que la vie, ça se vie d'abord avec notre coeur!
Et vlan, dans les dents, comme hier, comme aujourd'hui, comme demain.
la première fois que j'ai attaché un de mes souliers tout seul, je suis parti en courant de chez le voisin comme un débile mental à toute vitesse pour aller dire à ma mère "regarde"
que ça vient de me revenir
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