12/30/2006

Shame on me.
Trop de bonne bouffe.
Mon nouveau lecteur Mp3 (cadeau de K) din oreilles.
Ce matin FULL cardio_training.

- 20 minutes de Stairsmasters
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- 20 de "marcheur elliptique"
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Ouffffff. Ça replace !

Argh.

12/29/2006

l'ame en dérive. Mers de souvenirs, aube des paupières lourdes.

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Le temps des fêtes dans ma tête vient avec remise en question et regard tourné vers hier. Et hier, aujourd'hui, se compose de cet enfance dans le fond d'un rang, d'une fuite en avant dans un trouble cacuum, une perte dans une spirale trop de lumières 24 sur 24h. Puis une remontée à la surface, réapprennant à respirer sous l'eau, reprennant les armes. Se foutant des convenances, et des "quand dira-t-on" se construire un future brique par brique, un môme dans les bras, les seins plein de lait, un apart à moitié vide, la solitude, juste être là.

Mon père me manque, le père de mes enfants manque à mes enfants.

Le vide que ces hommes ont laissés dans nos vies est incommensurable. Je dois, j'ai due, marcher sans béquilles, sans me reposer sur personne, sans pouvoir esperer un calme, un doux support. 24 sur 24, 7 jours sur 7, toute l'année, je suis mère. Je suis responsable. Je source. Je pourvoie.

Quand j'étais petite, je jouais à la sirène, j'allais au milie du lac en chalouppe et je me mettais nue, et allais jusqu'à bouffer des algues !

Je parlais aux arbres. Des fois, j'entendais des rires dans le bois, au moment de m'assoupir, alors j'imaginais un peuple dans les fougères, à l'abri des regards, et je continuais ma reverie, a à moitié endormie. heureuse du bruit des feuilles dans le vent, des branches se caressant au gré de la brise, et toute cette douceur du soleil sur mon visage.

Je pense à ça aujourd'hui. Tantôt écrivant, tantôt lisant, j'ai ré-ouvert le Matou, (ça cadre avec l'époque de mes souvenirs)... Je pense à papa, muet, orgeuilleux, fort et rassurant par sa présence.

Je pense à hier. Ce hier qui maintenant trace aujourd'hui, et influence demain.

Quand j'étais petite j't'ai une sirène.
Quand je serais grande... une femme ?

12/28/2006

LA VERGE AU BEAU TARIF

(lui ravir le sens ravin. De l'autre côté l'artifice dort dans le vert. L'ombre se succède d'heure en heure creuse et sombre et qui me somme)
....................greffe sur la phrase "o longtemps suspendre sur mon ventre d'oscures parallèles images et tatous âge suggestif de l'ongle frôlant la cuisse la vallée s'en éprendre"

le corps doux d'audace
drogue lui ravir son sens
sa peau d'orange et d'olive
sa texture de couple envahisseur

(tu les soulignes d'un trait
comme le lit sous leur poids leur plaisir)
...................et t'enfonces
donc corps à corps dans la touffe
la ramifiante de végétation
jusqu'à eux
les lieux de consentement et de
l'affirmation

les cases magiques....................

l'épiderme une grammaire gratuite
de silence toile d'impression de
représentation
feu: l'artifice un parcours
le derme s'en détache les voyelles
illustrent
les éponges douces sur l'épi beau

le rapport certain qui existe
entre lui ravir le sens et
les cases magiques

*

LA VERGE AU GRAND TARIF se soulève
(mais)
puisque les greffes
doucement les mots la
longent sans histoire

(mécanique jongleuse)

Nicole BROSSARD.

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Image : Kyra Melskens http://www.exto.nl/gallery/page/site/1830.html

12/27/2006




Quand le ciel me lance mes dents en plein visage.

Quand tu oses sortir le papier peint et feindre.

Les sourires se fanent au gré des virgules qui se perdrent. Et moi, là dedans, entre croire et voir. Balance mes hanches. Toujours. Plus haut.

**

Je veux chanter encore. Je veux mon visage d'hier.

12/23/2006

Meme s'il pleure le ciel d'hiver. Y neige dans nos têtes !

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**

Mon apartement à l'air de l'atelier du Père-Noël. La plupart de mes cadeaux, je les ais fabriqués, et j'ai un fun fou à foutre des rubans, des décorations, à faire des bonbonnières, du bricolage. En plus, ça sent le rire des enfants, la tarte aux sucre, la soupe maison, le lendemain de calins satins.

Cete années mes cadeaux sont rouge et or. Comme cet amour qui m'est offert sur la main, et ce silence des angoisses qui laisses place à de simple bras autour de cette terre qui me donne des airs de saltimbanque.

Je souris souvent niaiseusement offrant au ciel des pupilles caramels, un état d'esprit zen, full love. Vous avez croisé une femme, au foulard vert jade, sifflant des airs de Noêl ? Ça devait être moi. Je suis championne, en 1 journée, j'ai acheter les cadeaux fidèles à la liste de mes 3 barbottes!

Je respire. Tout mes cadeaux sont faits. Les enfants ont passés chez le coiffeur, moi ? Bah, je suis belle à croquée, même sans vernis aux paupières ou de rose aux lèvres, alors... mes cheveux... Bah, un bon shampoing, un "splouch" d'Eternity et ma robe noire sexy, un peu de mascara et du gloss, et ça devrait aller!

Qu'est-ce que je fais à Noël ?

Je sais pas trop encore. Je serais dans les bras de l'amour, ça s'est certain. Mais le choix entre 2 familles est difficiles. Alors on laisse-aller. Surement, de ruban nous seront décorés, de rouge maquillés.

Le reste on s'en balance!

**

Je vous souhaite les plus beaux bonheurs qu'il est possible de vivre en ce temps des fêtes.

L'amour.
La paix d'esprit.
Des projets reflet de l'âme.
(et fulllll chexs)

:)

Je vous aimes tous.
***

Et un merci tout sweet à Do. J'ai reçu un superbe foulard vert jade tricotté par une dame de 92 ans. Wow!

Ma Do, ton cadeau est dans poste! Merci encore et Joyeux Noêl xx

Joyeux Noël Gang!!

12/20/2006

Juste, Je suis Heureuse.



Je ne trouve pas d'image, en fait y en a trop. J'avais plus ou moins envie de trucs sexy, c'est en moi, que je veux cette image, sur moi, par sur une fenêtre gamma de blog beta ! Du moins pas aujourd'hui, je feel rose bonbon !

Et si je tends les doigts, je sens presque le soleil chasser le froid, se greffer aux nombre de fois. Aux fragiles émois troublés des éclairs zèbres. Je suis heureuse. Heureuse. Juste tellement so, heureuse.

Bonheur. Impression d'enfin poser sa tête contre l'oreiller et sentir le doux battement du coeur de celui qu'on a tant et tant de nuit passées à désirer. Le rêve me touche aux pupilles comme jamais auparavant.

Mettre mes mains fatiguées de voyager ailleurs, sur ton dos de taureau brave et pur, et laisser les flammes lècher l'orgasme de près, laisser l'image se peindre contre mes reins et garder les yeux ouverts, oui, ouverts. Laisser mes doigts te semer l'iris de tremblement de peau, et comme le vert de tes yeux prends l'allure des mers profondes, comme ce vert me donne l'envie d'émois tendres, de violents cris, lorsque le vent me prends la nuque et possède mes terres.

Je suis extase grandiose, votre bulle est dans les étoiles. Amoureuse. Étire-Néante sur sa peau.
Jonchée à prendre et à croquer à ses pieds. Tendre pêche sous ses crocs. Velvet blues sur l'eau.

***

(Oh! et pour ceux ou celles que ça interesse, j'ai 40 pages de faits.)

12/19/2006

Chassé-croisé d'mots. En lapsus. Je.


Échantillon des dires au boulot de Manon.

"Je suis occupée, je vais vous rappeller, je fais mon plan triannale."
(Dis à la directrice du CJE qui subventionne mon projet)

"Je trouve les clients de la BE par le bouche-à-bouche."
(Dis lors d'un échange avec un intervenant du CLSC)

"Je ne veux pas te parler des mots dans la bouche."
(Dis en intervention avec un jeune adulte mâle assez beau bonhomme.)
Le pire c'est qu'il a répondu... " J'aimerais ça moi, que tu me parles des mots DANS la bouche."

" J'aime assez le poulet, tient, mêmê mes sandwish je les fait à la dinde"
(Dis à une collègue de travail avant l'heure du lunch)



Échantillons des mots que j'invente.

Fanfanrade. Come dans t'as tu vue la fanfanrade passer ?
Ficernes. Comme dans : Regarde j'ai plein de ficernes dans face.

(je crois que je suis nouille)

Je suis nouille ?

12/18/2006

Les bras en croix, les lèvres soie, ma main vers toi.



Juste pour te dire, les montagnes climbés
À force de croire, à force de vouloir.
Juste pour te dire, image encore mes draps.
Pour tout ces contours flous des. Dentelles.
Laisse pas trop mes couloirs se béton noués.
À force des envolées sevrages. Histoires.

Des fois que. Les genous repliés. L'âme en fragile ouverture. je me serais envolée.
Tient moi bien serrée tout contre toi. Gave-moi de tes paroles félines.

Méfie-moi des suspicieux vautours sur ma peau pêche.
Encadre-moi sur ton mur. Laisse-moi être l'ombre de.

***
J'ai le vertige. J'ai peur des descente mais je suis envouté par les montées. Junkie de toi babe.
Je ne sais plus à quel de mes seins me vouer. Et même, nouer ma cravate semble, suite illogique de gestes idiots.

J'ai le coeur en défonce tympan. Les ongles pacotilles, que je surprends à revasser tendrement à la place de taper ces foutus rapports qui trainent sur mon bureau. J'essaie de me parler, de faire taire mes rapides houleux, de convaincre mon visage de rester sans rides, ...

Je regarde dans le miroir et je vois une belle femme, en pleine possession de ses moyens, une beauté simple, mais naturelle, j'aime le noisette profond de mes yeux, le contour pulpe de mes lèvres, les plumes que j'ai à la place de cheveux. Et cette toute petite chose que j'ai à la place du nez...Mignon, sans aucun doute. Je connais, l'attrait, le désir, de l'autre. Je suis confiante de l'impact que j'ai sur. Sur l,amour, sur le feu, sur le lit, sur toi (surement) aussi. des fois. quand les souvenirs prennent possession, quand le vide tient comme témoin, quand la chute est imminente...

Mais, pourquoi toute cette insécurité, pourquoi cette peur, pourquoi, pourquois tout ces pourquois.

Je sais. Tu m'aimes. On s'aime. c'est cousu sur notre peau.

HA! Pis fuck!

Allons-y à Québec. On achête une maison, on se sauve de mes vautours, de tes aimants sur le frigo.

Tu viens ?

(On est donc bin idiot en amour ... Tu trouves ?)

12/15/2006

Massoneuse batteuse de ciel chatte en manque de son taureau. Délir peau.




Vitesse infirme, partie crédule. Caractère.
De carafon caramel. Je suis love snack en.
Terrible manque affection. T'es.
Pieds mes voeux.

Loin bébé. Mon boudoir sans toi. Tire d'ailes.
Ma bouche bise-jet.
Jambes mes entre ciel se.
Bouderies, soie tendre.
Invitation rouge.
Se fard de nuit.

12/14/2006

Saisir le vol des mots.




L'hiver tarde à venir installer sa ouate de glace sous nos pieds. Et moi, entre mes blanches pages, je troune la nuit, je tourne les rues, me cogne aux coins, me méleange et me trompe de chemin. Tellement certaine, tellement incertaine. En déroute jusqu'à mes chevilles, sous mes bas, sous le nylon et cette laine que j'ai jettée dessus. Ce noir se gavant de ma silouette. Cette luminescence tout autour de mes mains, témoin des gestes.

Oui, ce genre geste qui porte tulipe à ta bouche.
Ce genre même qui nuage les peurs. Les pleurs.

Les mots à l'endroit, ceux souffrant d'embonpoint, ceux en culotte courte, ceux qui boudent. Les mots avaleurs de serpent, ceux qui s'inscrit en bouche comme un bon vin. Je les attrapent aussi. Je les noirs sur blanc. Je les couchent orgie mélangens Orient cassiopée. Sans regard aux origines, à la couleur, à la place occupée dans l'habituel ordre des choses.

Le chaos des mots. L'envol outarde des mots volages. Le Grand V des doigts prit dans'porte. L'espace entre mes deux pieds ainsi se replace. Par le chevauchement des rages de dents sur les piste d'attérissage vertue. Dedans. je joue. Je jouie. Tendre l'autre joue et rire les éclats. Battre l'enfer pendant que chaude je gris toute la nuit. Tel est mon destin.

Et, avec en tête, ce beat 10 degré en haut de zéro, je pieds devant. Consciente des rares bouffées d'air permise, voyant l'éclaircie possible si les si, se jumellent en présent. Doucement. Et, si le temps est propice. Les escapades se feront pluriels sous les autoroutes. Tu es part of me. Ici. Là-bas. En bas de laine ou en costume de soirée.

Je saisi les mots pour te dire. Que je t'aime. Toi.
Et que le grand wind te mind. Oublie pas. Ça.

12/12/2006

Le terrible choc des générations

Maman Dans Sa Bulle a 20 ans





Adorable et mignon Fiston Émile 8 ans



Après ça, demandez-moi pas de vous expliquer, sur quels aspects Émile me ressemble !!

Sur cette photo, je sais pas jusqu'à quel point vous voyez qu'il s'est fait un mohack, qu'il porte fièrement sa cravate sur sa chemise lignée, tout comme jadis, maman trop dans une certaine bulle, portait fièrement ses pikspiks et son tee-shirt de Crass !!

Je souhaite juste qu'il trouve sa voie, un brin plus vite que maman !!

(J'y veille tout discêtement, croyez-moi!)

12/11/2006

En labyrinthe parce que : in me the sun, out the stone, behind the torn, in the some trop de turn possible.




Tu m'as prit par la main. Et ensemble, ont a marchés le long de mes trottoirs guillotines. T'as goûté au salé de mes peurs, aux turquoises de mes angoisses. Aux cris de mes pertes d'azur. Quand la lune s'empare de mes couloirs et je tangue rouge saloperies d'ovaires. Putain d'cycle. Putain de descente. Osti de perte d'équilibre, welcome en red-city.

Putain de moi. Si intense, si vraie jusqu'au bout de mes ongles, fragile être en quête d'une sortie, d'un urgence d'établir, d'une verve à nommer, à éclater puis sombrée soleil, lave coulée dans mes vagues sourires. Tout à la fois, rires-larmes, questions-réponses, angoisses-euphories. Tout à la fois. Rêver-éveillée. Tombée-debout. Vivre-morte. Mourire-vivante. Et j'inscris encore tout. Même mes dialogues. De moi à moi.

De toi à moi.

Si fragile amour, si fragile autour. À la fois, être certaine, du toujours de tes bras autour, et en même temps, craindre l'érosion du temps, sur les lèvres des amants. Sur les pupilles des toujours, l'ombre des vautours, des scies que l'on s'échangent pour le cheveux en 4 mettre, quand en manque de dialogue, l'action se veut maîtresse.

Si fragile mon amour, car j'ai perdue une fois, mon âme au combat. Et je dois tout renverses cet ordre de la peur qui laisse sa trainer de poudre sur les remparts de notre quête d'absolu partage, sans mirage, juste oasis myrtille, de notre abandon-vanille. Tu as prit ma main. Tu m'as conduit dans tes repères à toi aussi. Insécure. Cherchant à apprivoiser, tes grands vents mâles d'hormones fréquences. Troubles. Tu m'as montré.

Tes petits cailloux blancs semés tout autour de ton être à parcourir. Ces petits cailloux dociles et doux, m'offraient à boire des preuves d'affection. Des laisser-passer double, en aller-retour sauf, sans accro, juste être bien enlacés là où il le faut. Tu
as, si généreusement dévoilé, ce que tu voulais cacher. De peur de voir éclatter la bulle. Le rêve. Moi, donné en voyage.

Je suis restée. Mes doigts concubins sur ta peau. Mes yeux étoiles voluptés. On est restés. Enlacés. Touchant le ciel, presque endormis d'avoir si tellement soif d'un de l'autre. De l'autre et d'un. Futur. Purs de tout passé.

On s'est offert nos failles, aveugles, voyants clairs, désirant prendre à la même table la nuit suivante.
Quand même.
Même à la vue des différences, des trous noirs, des salves de canons.

2 ans. Dans 2 mois, 2 ans. The terrible 2.
The merveilleux nous. Encore debout.
Encore offert comme parcours à grandir
Comme la vie nous donne à d'venir mieux.

Merci la vie.

(écris en chuchotant c'est fragile, ma bulle tout là-haut. svp. veuillez commenter sur la pointe des pieds Merci à toi aussi.)

12/08/2006

Délirium très frette au Québec.




J'me coule deux yeux miroir percé.
Tu veux du beacon avec ta langue ?
Passe-moé l'beurre, j'pleure trop.
Robinette-toi, arrose mon cul svp.
Fais frette simonack tuque envole.

moi.

Ch'suis post coït et j'ai les dents à terre.


Argh **

Père-Noël. Offre-moi you to heal.

12/07/2006

Big Brother is watching My FAMILY



Comme vous savez j'fais l'élevage d'trois espèces mâles humain.
Que je souhaiterais bien élever un peu plus haut, un peu plus loin !!
Vous savez surement aussi que j'ai un passé de Punk anarchique.
Que j'ai le tempérament bohème, l'âme un brin rebel.


Autour de la table au souper c'est "on-discute-de-notre-journée".

Quelques extraits :

Marion 9 ans :
"Les soldats sont nécéssaire pour garder la paix dans les pays."
maman :
"Qui t'a apprit ça ?"
Marion :
"La télévision"
Maman dans sa tête (Argh propagande gouvernementale)

Raphaël 12 ans :
"Monsieur Roch (son prof) veux que nous, un de ces élève on renverse l'ordre social,
$ vs les humains, ça pas d'allure qu'un joueur de hockey soit payé des millions et
qu'un professeur... "
Maman dans sa tête
(shit c'est de la propagande syndicale ça)

Émile 9 ans.
"Maman t'es la plus belle"
maman dans sa tête
... propagande émotionnelle

Dans une formation que je donne sur les préjugés dans le
cadre des activités de pré employabilité à ma job,
j'parle des "appareils " qui tienne en place l'ordre sociale,
qui controle les valeurs et préjugés véhiculés dans notre
magnifique société. (la télévision , l'école, les médias, etc.)

C'est fantastique et épeurant en même temps de voir son efficacité sur ces petits cerveaux
tout neufs et friands d'être capturé et manipulé. Juste dommage que se soit nos enfants.
Mon pouvoir sur ce que pense et vont penser mes enfants est diminué par
tout ces influences extérieur.
Hope que ces valeurs que je juge bonnes, ne soient pas toutes jetter aux ordures.
*Argh*

12/05/2006

Fragile. Saisir le bonheur sans enfuir. Le temps.Tu sais. Apprivoiser. Jamais. Trop.


J'ose pas trop. Pas trop hurler se qui me bonheur.

Même le soir, martellant les avenues de mon soulier usé.
De Lafond, en avenues, puis de la 18 à Masson. Poétique ciel soleil couchant.
Je trouve féérique ces lumières de Noêl blanches dans les yeux des enfants.
Et je goûte encore Noêl sur la langue. Je goûte encore ta semence sur mes murs.

Je me coule de l'Amarula et du lait chaud contre la fenêtre.
Hyacinthe en tes lèvres. Douce lampée organique. Gorge.
Soulevée contre. Flaque. Et le grissement de la neige me rends si lumineuse.
Absorbée par le souvenir beat de tes hanches contre mes reins. Le temps de.
Je me rends pas compte de mes fesses gelées. De mes oreilles glaçons.
Et même ces restes d'automnes, oubliés le long des trottoires.

Bruns, encore humide de la dernière pluie. Ces memories feuilles.
L'air de vouloir rattraper le temps, m'font rêver. Pleine entre les lignes.
Et le froid vent d'un hiver qui se coiffe me réchauffe.
J'ose pas trop. Hurler ce bonheur. Qui me. Des fois trop haut.
J'ai le vertige highlander, saoule des verre d'aurore bue. Vêtue de nylon.
De peur de. Fracturer. Coffre-fort. Les grilles orthèses. Prothèses.
Des marais hivers chaud que l'on blotti contre. Soi. Tu sais.

Alors je breath tes messages sur mon corps. Je saisi.
Je souffle encore. Tout l'or du monde. À cheval sur.
Et je veille. Ce new castle over the bridge of return.

Soufflez pas trop fort.
Serrez pas trop fort.

Ici se bati un château d'Espagne cartes. Et d'hope foulard je me couvre.
Offrez-moi de la colle, pour construire solide chaque briques.
Et que libres soldats tu ais. En allée et venu entre mes souffles.
(J'apprivoise la peur de voir ma bulle se pêter et de crasher over mon doux rainbow.)

12/04/2006

Parce que je vais exploser. Top infusion d' hélium.




Tu danses avec moi ?

(Trop top trop pour écrire.)

12/01/2006

Imprimés sur L'endos des soirs satins.



Juste cette image en noirs et blancs parachutages.
Juste ce jeu imprimés, noirs et blanches ombrages.
Juste ce bonheur de t'appartenir entre mes coups de reins parfum.
Juste parce que ça fais unisson ce parfum de bonheur sprayé entre mes cuisses.
Juste parce que nos gémissents se sont lancés contre mes reins.

Images tes broderies mon corps song of a love.

Juste ce ......
"Tu as juste à mettre ces collants, et je serais heureux,
...te rendrais heureuse toi et les enfants."

Juste ça et mes doigts se mèlent au bleu des plafonds.
J'ai tellement pas besoin de plus que ça.