12/05/2006

Fragile. Saisir le bonheur sans enfuir. Le temps.Tu sais. Apprivoiser. Jamais. Trop.


J'ose pas trop. Pas trop hurler se qui me bonheur.

Même le soir, martellant les avenues de mon soulier usé.
De Lafond, en avenues, puis de la 18 à Masson. Poétique ciel soleil couchant.
Je trouve féérique ces lumières de Noêl blanches dans les yeux des enfants.
Et je goûte encore Noêl sur la langue. Je goûte encore ta semence sur mes murs.

Je me coule de l'Amarula et du lait chaud contre la fenêtre.
Hyacinthe en tes lèvres. Douce lampée organique. Gorge.
Soulevée contre. Flaque. Et le grissement de la neige me rends si lumineuse.
Absorbée par le souvenir beat de tes hanches contre mes reins. Le temps de.
Je me rends pas compte de mes fesses gelées. De mes oreilles glaçons.
Et même ces restes d'automnes, oubliés le long des trottoires.

Bruns, encore humide de la dernière pluie. Ces memories feuilles.
L'air de vouloir rattraper le temps, m'font rêver. Pleine entre les lignes.
Et le froid vent d'un hiver qui se coiffe me réchauffe.
J'ose pas trop. Hurler ce bonheur. Qui me. Des fois trop haut.
J'ai le vertige highlander, saoule des verre d'aurore bue. Vêtue de nylon.
De peur de. Fracturer. Coffre-fort. Les grilles orthèses. Prothèses.
Des marais hivers chaud que l'on blotti contre. Soi. Tu sais.

Alors je breath tes messages sur mon corps. Je saisi.
Je souffle encore. Tout l'or du monde. À cheval sur.
Et je veille. Ce new castle over the bridge of return.

Soufflez pas trop fort.
Serrez pas trop fort.

Ici se bati un château d'Espagne cartes. Et d'hope foulard je me couvre.
Offrez-moi de la colle, pour construire solide chaque briques.
Et que libres soldats tu ais. En allée et venu entre mes souffles.
(J'apprivoise la peur de voir ma bulle se pêter et de crasher over mon doux rainbow.)

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Joies sur mes paupières de me plonger dans tes mots ce matin.

Bois, savoure à pleine bouche ton bonheur :)

xxxx