3/31/2007

titre d'un samedi en fugue.

Pas de peaux sous l'édredon. Avec ma propre main crève-la-faim, se cible l'origine de tout, le vase crinoline, la terre mère, l'overdose apétit.

Je suce le temps qui passe, en gâterie sur mes dents, et ce sucre descends, pauvre parent du boudoir rouge et blanc. Je goûte ma.

Maintenant que ce chatoiement de l'eau se réserve ailleurs aussi. Mes yeux se sont embués des larmes de celle qui se deuil d'un.

À force d'autopsies cervicales, de strip tease de l'inconscient. Je sais. Égoïste bête, je suis. Quand je nombril mes phéromones autour, guettant l'ombre. Espèrant entrevue oreiller, quand le soir s'allonge près de moi. Caressant mon ombre soif, mes cheveux oréole d'être enroulés autour.

Congugales fringales, pizza congelée et risque d'averse.

J'ai esperé tant et tant que l'encre s'est gonflé par toute les mers.
Tellement d'inspiration, de mots, de textes en sont sortis vainceurs.

Que je ne peux que pleurer, me moucher, jetter les kleenex, me maquiller et sortir dehors, m'acheter des fringues, poupée qui dit oui. Promesse d'un ciel bleu et d'un 7 degré.

3 commentaires:

Perrasite a dit…

7 degré 2 le matin

Anonyme a dit…

J'ai lu et relu et relu. Chaque ligne, un soupir, une épaisseur de peau qui s'efface. Merci, d'avoir fait fugué mon dimanche avec le soleil couchant. Les kids aussi disent merci pcq là j'ai une force inconnue pour aller préparer le souper, parce qu'il faut ce qu'il faut, pis qu'on a mangé de la pizz hier.

Manon dans sa bulle a dit…

Perrasite...soul l'soleil et toit ?

Missblue... C'est bon d'la pizz!