Au pieds des abstractions. De formes, de couleurs. D'être expériences complexes et de succinctes étreintes vêtue. Sec ses becs sur la joue donnés. Vide de verres de vin trop bues à force de courbes chemins qu'elle fuit à coup de pardons pitchés comme en manque de caresses et d'émotions crimes.
Elle a finie par fumer ses doigts.
Par encrer le sol à ses pieds.
je regarde aller.
Mes cheveux que j'ai laisser prendre la forme du temps qui passe, libres et naturels. Ne plus me cacher derrière.
Mes mains que j'ai donner droit, de toucher le tangible, l'absolu des êtres que je croise. ne plus avoir peur de.
Ma pensée que j'emplie du goût des viandes qu'on a mariné d'herbes et de vinaigre de vin rouge. Que je laisse mordre et remplir les tripes de ceux que j'aime.
Quand tu poses le pieds sur mes rails, je t'offre et te laisse prendre mes plumes pour ta fuite à toi aussi. Je te laisse regarder dans mes lunettes de tisseuse de bonne aventure. De Manon la waitress comme il dit, ou la machine Jackpot, peut-être, si tu lui laisse le temps de t'attrapper en bouche. Ça fais gling gling. Des fois.
si tu as pas peur des vrais yeux dans les yeux. Des vrais moments qu'on partage quand les cris se font tard, quand les masques se sont tirés. Au nord ou au sud, on s'en criss, le soleil fini toujours par dire bonjour aux montagnes et moi de jouir et de dormir.
Enfin calmée.
J'en veux pu de chemin pendreloque qu'ons e suspends après la bouche en gage d'un vécu promotion, donné en dépit de pas rien de mieux en vue, qu'on achête au walmart, qu'on consomme la nuit, en cachette de cuex qu'on a choisi pour amour, mais qu'on fuit quelque chose qui pince le coeur, qui tremble dans la voix, parce que le passé fini toujours par se venger de nos fuites péninsules.
***
Je le sais, parce que à chaque allusion à.
Toute les semaines de prévention de.
Toutes ces ressaemblances que je vois dans.
Tu peux juste te mentir à toi.
Je peux juste me mentir à moi.
je vois clair dans tout vous autres.
Vous voyez tous clair dans moi.
Ça sert à rien de trop s'inventer. De trop se gongler. Tu rimes secondaire deux. Elle se cuit la fois où les noms se vêtaient célibrités, il se coeur de rocker, et ma love-soeur me touche l'échine. Et moi, et moi, et moi......Je sais peut-être pas toujours écrire, mais mes cris eux...Tu les entends ?
J'ai changer mes liens. Je me fous de ce que tu écris, sinon des émotions que tu laisse t'apprendre. Sinon, de l'authenticité des mots que tu tais. De ces gestes non dit, mais poser à plat sur les pages. Je veux du vrâ. Du senti. J'en ai assez de moi, de mon ventre qui s'empli et qui refuse de cracher. De ces regardez-moi Hiroshima mon amour. Oui, je lis et j'ai lue. Assez pour savoir que tes yeux ne se pose pas ici.
Assez pour savoir que d'autres oui.
Et c'est ses yeux là que je veux caresser.
***
Je poursuivrais peut-être un autre jour.
Sur ce stage qui m'evanouie tellement j'en ai bouffé.
Mon histoire de sautages dans les cerceaux en feu.
Mon histoire, si le vent arrive à se sucer l'nombril.
Si Kelly m'offre un Laptop. A ma fête. Ailleur dans mon lit. Je poursuivrai.
2/10/2007
Vidande d'huile de foie de morue. Changer ses ampoule et faire ses valises.
Envole-toi avec Manon dans sa bulle à 10.2.07
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4 commentaires:
et moi de m'épousseter de mes ombres pour venir tremper le bout des doigts dans ta clareté. la tête me tourne, le téléphone sonne pas, l'inbox reste vide. mais j'ai encore faim. te des mots qui m'inspirent, qui aiment, que j'entend même quand ils ne crient pas... et de nos (foufou). soyons donc nos filets, notre sauvetage. à l'attaque douce de ces jours incertains, mais jamais seules. xxx
Le téléphone à sonner, sans doute la tête tourne encore plus. Je nourrirais de mes entrailles toutes ces bouches sans compter. Ni seulement ces heures , ni plus que ces tics tacs de mon ventre qui se tceap de son encre et qui me tient bien devant mon bol de céréals. Étourdie.
Jamais seules xxx
J'ai lu deux fois.
Rien à faire.
Je ne peux, ne veux rien ajouter ici.
C'est ton billet le plus intime, de ton journal, à toi qui soit.
Sauf merci de partager.
xx
Julie. Je m'avais même pas rendue compte. Tu trouves ? Vraiment ? argh.
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