11/06/2006

En suspension. Laisser l'espace prendre son temps.

Le monde dans ma tête s'est espacé quelques instant ce weekend.


Troublant les rives de mon fleuve. En ronds de toujours.
En échos.


Malgré ce qui transparaît, ce qui apparait, ce qui plaie.


Car je veux trop retenir, satisfaire. Confondre désirs, envies, corps et âmes.


Et goûter toujours le fuite par en avant. En aval des aujourd'hui.




But.




L'amour est troubadour.


Il chante ici, là, selon son plaisir.


L'amour ne se retient pas.


Il va ici et là selon ses désirs.




Je ne peux le contenir, même si j'aspire mieux que toute les femmes au monde,


même si j'ouvre plus haut, plus grand. Il doit continuer son chemin.


Les certitudes d'âmes-soeur demeurent. La communication n'est pas coupé au numéro composé. Les voix se font encore l'amour. Trouble. Pas conventionnel. Ça jamais été, mes besoins, ses besoins, ont se chamaillent trop. Sometimes. Et mes larmes ouragan, le blesse, le coupable. Puis il caresse mes pleurs de son félin "je t'aimerais toujours", puis mes rives sable s'or silence. Et je soulève mes rouges. Recevant avec paix ton doux souffle sincère. Tu m'aime.




Je sais.




L'amour est troubadour.


Il chante ici et là, selon son plaisir.


L'amour ne se retient pas.


Il va ici et là selon ses désirs.




"Laisse-moi t'approcher" Que tu m'as demander.


Oui, amour, et moi aussi je vais m'approcher de moi, avec toi. Si tu veux.
sur le bout des pied...Avec entre mes mains le rond des vies a nouer ensemble.






2 commentaires:

Doparano a dit…

Tu sais que Y'a une amiDo qui est tout près pour tenir ta main quand ça va pas.

J-Julie a dit…

Manon, il se passe quoi? Il manque d'optimiste, de sourire là-dedans.. ça va?